Oui, je le veux... TON CUL ! (1)
Datte: 11/11/2018,
Catégories:
Trash,
... révéler à ma vue une grosse poitrine à l’apparence délicieusement ferme. Ne pouvant résister à la tentation, je ressortis ma queue et frottai mon gland avide de caresses dans la fourrure d’un manteau apparemment hors de prix. Putain, cette saloparde brunette ne rendait encore plus dur, et je dus sortir aussi mes bourses de mon fut pour ne pas crier de douleur à cause la pression qui s’était accumulée. La brune se pencha pour ramasser ses chaussures pour les ranger, et j’eus une vue magnifique sur le string qu’elle portait et qui lui rentrait quasiment dans la chatte. J’avais envie de lui la lécher jusqu’à ce qu’elle hurle, de la faire mouiller à noyer ma queue dedans. Je frottai plus intensément ma bite gonflée à l’extrême dans le manteau, et le décrochai même en silence pour l’enrouler autour de mon sexe et me branler avec. La femme à qui il appartenait allait avoir une petite surprise en venant le récupérer à la fin de la cérémonie… Je reportai de nouveau mon attention sur ma salope. Hum… la voilà qui se passait une crème sur le corps avant de revêtir sa robe. Comme si elle avait lu dans mes pensées, elle pivota vers moi et je pus la voir en passer langoureusement sur son ventre plat et ses gros seins. Elle les prit en main, les malaxa, les tritura, et je faillis jouir devant ce spectacle. L’air le plus innocent du monde qu’elle abordait me donna envie de l’empaler sur toute ma longueur sur-le-champ en la regardant hurler de plaisir, victorieux. Lorsque l’une des trois ...
... femmes restantes quitta la pièce, je décidai de quitter ma cachette pour passer à l’action. Je n’avais pas réellement prévu de baiser à quelques minutes de mon mariage, mais mes instincts prirent le dessus, et je m’élançai entre la première et deuxième rangée de casiers. Le fait que la femme plus âgée se trouve de l’autre côté et ne puisse pas voir cette partie de la salle, me donna de l’audace. La brune, qui me tournait toujours le dos, ne me vit pas arriver et je me plaquai dans son dos en écrasant une main sur sa bouche pour l’empêcher de cri, tandis que l’autre venait emprisonner ses bras. Ma queue, raide comme jamais à cause de l’excitation et de l’adrénaline, lui rentra dans la raie des fesses et je me délectai de la pression soudaine de ces deux globes rebondis sur mon sexe. La jeune femme se débattit mais j’étais plus grand et fort, alors je la forçai à rester immobile et silencieuse entre mes bras. Attendant qu’elle se calme un peu ou s’épuise, j’entrepris de faire coulisser ma queue contre son cul, et lâchai un soupir sonore. C’était vraiment trop doux, délicieux. Je me penchai et chuchotai à l’oreille de la fille qui me faisait bander si fort : — Vois comme le futur marié à envie de te baiser, petite salope. Sens comme tu appelles ma bite, comme elle vibre pour toi ! Ma main qui enserrait ses bras se déplaça et je saisis un de ses seins lourds dans ma main. Elle était grande, et pourtant je ne parvins pas à faire entrer son nichon dedans en entier. Il débordait de tous ...