1. Oui, je le veux... TON CUL ! (1)


    Datte: 11/11/2018, Catégories: Trash,

    ... les côtés ! Je lui pinçais les tétons, tandis qu’elle forçait encore pour se libérer, et c’eut pour effet de la faire reculer brusquement contre moi. Si elle n’avait encore ce string ridicule, elle se serait empalée involontairement directement ! Je le lui arrachai sans plus de cérémonie. J’entendis l’autre femme fermer son casier et la vis se diriger vers la sortie. Merde ! La jeune bandante et moi étions juste dans son dos, si elle décidait de se retourner maintenant... Je mis toutes mes forces à empêcher la brune de nous trahir au dernier moment, et la femme sortit finalement sans nous voir. Je me détendis aussitôt que la porte claqua. Je ne pris plus la peine de chuchoter : — Laisse-moi t’expliquer la situation, ma jolie. J’ai vraiment, mais alors vraiment envie d’être en toi là, de labourer ton intérieur tout chaud, et j’aurai vraiment de la peine à supporter la cérémonie si je ne te ramonais pas comme une chienne maintenant. Le truc, c’est que j’aime que mes partenaires de baise soient consentantes, alors laisse-moi te convaincre que j’en vaux la peine ! Je lui mordis le cou et lui tirai les tétons. Ces derniers se dressèrent en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire et devinrent durs comme la pierre. Wouha ! Elle était vraiment réceptive, cette salope-là. Je lâchai sa bouche et plaquai ma main contre son intimité à travers la culotte. Bordel, elle était dans le même état d’excitation au sud, rien que le tissu me collait aux doigts tant sa chatte débordait de jus. ...
    ... Profitant de ma déconcentration, la brune me donna un coup de coude dans l’abdomen qui me coupa le souffle, et fit volte-face. L’air furieux et totalement dénué de peur sur son visage me surpris, et m’appris par la même occasion qu’elle était bien plus pute qu’elle ne semblait l’être au premier regard. — Vous êtes le marié ? Je tentai de reprendre mon souffle, tandis que mes yeux louchaient sur ses lourdes mamelles : — Pas encore… Je me redressai et elle rougit un peu, je compris que mon physique l’impressionnait. Le sien me rendait fou, alors autant rentabiliser la chose. Je me demandai comment tourner mes phrases pour l’amadouer et la convaincre de se laisser sauter. — Désolé de t’avoir sauté dessus comme un animal…, je commençai. En fait, je ne l’étais pas du tout et j’avais même envie de le refaire tout de suite. A ma grande surprise elle s’approcha sans me laisser le temps de bavasser davantage et me saisis la queue sans que je réagisse. Putain ! C’était plus facile que je ne l’avais pensé. Sa main était petite par rapport à mon sexe, mais incroyablement chaude. — Je crois que cette situation m’excite vraiment…, avoua-t-elle en rougissant encore. Ses doigts serrèrent ma bite et son autre main se mit à malaxer mes bourses pleines à craquer. Je plantai mes poings sur mes hanches couvertes du smoking en me courbant en arrière pour m’empêcher de crier. — J’ai toujours détesté cette connasse de Celestina, chuchota-t-elle comme pour elle-même. Puis elle planta farouchement ses ...
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