1. Le prix à payer (8)


    Datte: 12/11/2018, Catégories: Hétéro

    Sa prise de fonction se passa formidablement bien. Irène, en bonne professionnelle comprit vite ce qu’elle avait à faire, et s’acquitta de ses tâches avec brio. Elle apprit vite ce qui tenait à cœur à Fabrizio dans l’organisation de ses déplacements, comme la gestion des clients, notamment quand il y avait des aléas. Fabrizio, de toute façon, l’avait déjà vue à l’œuvre quand il était le client de SETI et il savait combien elle savait se mettre en quatre pour arranger les choses, arrondir les angles ; c’était la parfaite petite secrétaire. Bien entendu, tout n’était pas toujours facile, surtout pour le patron, qui, bien que se montrant toujours cool, encaissait une pression énorme par moments. Il s’efforçait de ne pas le montrer, mais Irène, qui le connaissait bien, savait quand il était stressé. Elle essayait tant bien que mal de le détendre, ce qui n’était pas toujours totalement possible dans les moments les plus difficiles. Mais il lui était reconnaissant des efforts qu’elle faisait pour qu’il se sente bien. Même dans les pires moments de stress, il était content quand il pouvait prendre un moment pour se retrouver avec sa petite Irène dans son bureau, pour se faire cocooner. C’était une vraie détente, un précieux moment de paix où il pouvait décompresser alors qu’elle s’occupait de lui. Ils fermaient les portes et tentaient d’oublier le monde extérieur et tous leurs soucis. Un jour, le P.D.G. lui avait mis une pression énorme, avait critiqué sa stratégie, remis en ...
    ... cause tout ce qu’il faisait, et il avait dû encaisser ça devant tout son staff. Il s’était défendu, avait serré les dents, mais il était retourné en fin de matinée dans son bureau très remonté. Même dans ces moments-là il ne passait pas sa mauvaise humeur sur Irène. Elle aurait bien essayé de le calmer, de le cajoler, mais il ne tenait pas en place, il tournait en rond dans son grand bureau en vociférant. Les injures contre son P.D.G. pleuvaient. Heureusement la pièce était parfaitement isolée. Irène assistait à ce triste spectacle, impuissante. Elle essayait de l’apaiser, mais il était comme un lion. Elle n’essayait même pas de le toucher, ni de lui proposer un massage. Il finit par tarir son flot de récriminations envers son bourreau. Il était à court d’arguments et de propos acides. Irène tenta de le consoler, lui caressa le cou, les épaules. Il se laissa faire, mais ses mâchoires étaient toujours serrées, et il avait un regard dur. Alors, elle se laissa tomber à genoux devant lui et commença à lui caresser les cuisses en remontant, et guettant sa réaction. Elle avait peur qu’il l’envoie balader. Mais il la laissa faire, alors elle se sentit encouragée et continua en massant son entrejambes. Elle pensait qu’il n’avait pas trop la tête à ça et elle aurait compris qu’il la repoussât gentiment. Mais il ne le fit pas, et caressa les cheveux d’Irène, un peu distraitement. " - Mon pauvre Fabrizio. Vous ne méritez pas ça, je le sais. Laissez-moi faire, je vais vous détendre." Elle ...
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