Le prix à payer (8)
Datte: 12/11/2018,
Catégories:
Hétéro
... ouvrit sa braguette. Elle avait peur de l’échec. Elle savait que les hommes, quand leur esprit est préoccupé, perturbé, leurs réponses physiologiques sont parfois stoppées ; même si elle savait que Fabrizio était plutôt un étalon toujours prêt pour la bagatelle. Il lui avait montré à maintes reprises, quand, notamment en débarquant le matin après une mauvaise nuit passée dans l’avion, il l’avait saillie sur le canapé du bureau, témoignant d’une forme étonnante pour un homme fatigué. C’est vrai que leurs retrouvailles après quelques jours d’absence pour ses déplacements à l’étranger commençaient souvent par ce rituel. Aussi ne fut-elle qu’à moitié surprise de constater que la queue de Farbrizio durcisse, et très rapidement, dans sa main, il est vrai sous l’effet des caresses dont elle était devenue experte. Elle le prit rapidement en bouche et se mit à le sucer comme elle savait si bien le faire, d’abord lentement en pressant bien le membre entre ses lèvres et sur sa langue, puis en augmentant l’amplitude de ses va-et-vient. Fabrizio commençait à se détendre dans le même temps que son vit continuait à se tendre, à durcir dans la charmante petite bouche d’Irène. Il lui caressait la tête, le visage, en murmurant : " - Hum, Irène… Ma petite Irène… Heureusement que vous êtes là… J’ai de la chance de vous avoir…" Elle continua de le sucer longtemps, son membre ne mollissait pas, mais l’acte était parti pour s’éterniser. Irène ne savait pas quoi faire d’autre que de continuer. ...
... Alors, à un moment, Fabrizio, prenant le menton d’Irène dans sa main, l’invita à cesser sa fellation, et lui dit : " - Venez Irène, venez sur le sofa." Elle se releva et il l’entraîna vers le canapé en la prenant par la main, puis il lui intima d’une voix calme : " - Mettez-vous à genoux sur le bord." Elle s’installa comme il lui avait demandé, appuya ses mains sur le dossier, et attendit. Fabrizio, soudain surexcité, remonta la jupe de sa secrétaire un peu brutalement et la replia sur ses reins, dévoilant la croupe sublime d’Irène, bien mise en valeur par un collant-porte-jarretelle noir super sexy. Bien évidemment, se conformant aux consignes de son patron, elle ne mettait plus de culottes depuis qu’elle travaillait avec lui. " - Hummm, ma chère petite Irène, vous m’avez gâté aujourd’hui !" et ses mains confirmant le ravissement qu’il éprouvait à une telle vue, se mirent à couvrir de caresses le beau fessier ainsi dégagé par l’échancrure du nylon noir. Il se mit à lui palper nerveusement les fesses, les pressant, lui pelotant l’intérieur des cuisses au passage. Puis soudain, d’un geste rageur, il arracha à deux mains les parties du collant qui servent de jarretelles, remonta avec violence la partie du haut, libérant ainsi totalement la croupe jusqu’au bas des reins, et descendit brutalement les lambeaux de collant qui couvraient encore le haut des cuisses et les hanches, et pelota d’une main ferme et puissante les chairs ainsi mises à nu. Puis, sans autre forme de procès, il ...