Le prix à payer (8)
Datte: 12/11/2018,
Catégories:
Hétéro
... présenta son vit à l’orifice de la conque, et d’une seule poussée la pénétra à fond. Irène poussa un cri de surprise. Son vagin était heureusement moite, mais elle sentit toute la longueur du phallus en elle, qui se mit aussitôt à la pilonner à grands coups de boutoir. Elle se mit à pousser de grands cris aigus de femelle, sous la saillie du vigoureux étalon. Elle s’accrochait au tissu du canapé qu’elle avait agrippé du bout des doigts, mais devait contenir les poussées du mâle qui ébranlait sa chatte comme s’il voulait la perforer. Il se retira au bout de quelques instants puis dit d’un ton bas : " - Je suis désolé Irène, mais aujourd’hui je veux plus de vous. J’en ai besoin." Et, lui écartant les fesses, il se mit à lui lécher sa rosette à grands bruits. Elle avait compris, elle serra les dents. Ce qui ne l’empêcha pas de pousser un long râle quand Fabrizio lui força sa petite pastille et lui enfonça lentement mais sûrement sa pine longue et raide dans le cul ! Il ne fit même pas de pause dans sa progression : d’une seule poussée il l’avait embrochée jusqu’à la garde, jusqu’au fond de ses entrailles ! Ça faisait longtemps qu’il ne l’avait pas enculée, mais les fois précédentes il avait pris son temps, il lui avait lubrifié longuement la rosette avec du gel, il l’avait sodomisée puissamment et avec fougue, et elle avait pris son pied, étonnée de jouir par le cul, chose qu’elle n’avait jamais ressenti avant ! Elle avait l’impression, là, d’être empalée, sacrifiée comme une ...
... grosse poule. Fabrizio, conscient de la brutalité de la pénétration, avait attendu un peu avant de continuer, s’était retiré lentement, l’avait lubrifiée davantage avec sa mouille, puis avait commencé à la pilonner, lui perforant littéralement le petit trou. Elle sentait son canal qui s’ouvrait, l’absorbait ; la sensation qui lui avait coupé le souffle au début s’était estompé, et elle commençait à apprécier, malgré la brûlure au niveau de l’orifice. " - Vas-y mon grand" lui dit-elle, "défoule-toi, baise-moi, sodomise-moi, venge-toi !" Et tout heureux de cet encouragement, déculpabilisé soudain - parce qu’il avait eu honte une seconde d’avoir fait mal à sa Irène - il se mit à l’enculer à grands coups de reins, longs et souples. Il lui avait mis les seins à l’air, par-dessous le soutien-gorge, et les malaxait avec passion ; il la baisait par le cul, se sentait bien serré, éprouvant une sensation incroyable et libératrice. " - Ah c’est bon de t’enculer ! Tu prends bien, tu es bonne par le cul…!" Il l’avait fait se redresser un peu, lui léchait le cou, lui suçait les oreilles, et en bon baiseur, avait glissé deux doigts dans sa fente. Il la baisait par le fondement, l’enculait à une cadence accrue, et il la branlait en même temps avec fougue. Elle retrouvait son Fabrizio, son mâle italien, son patron bienveillant et tendre, et sous l’effet conjoint de cette caresse et du pieu qui lui ramonait les entrailles et appuyait sur sa zone G, elle se mit à partir bruyamment, dans un long ...