Le prix à payer (8)
Datte: 12/11/2018,
Catégories:
Hétéro
... roucoulement, une plainte déchirante de femelle touchée, achevée par le plaisir. La voir ainsi jouir sous son action, sous ses caresses, flatta son ego de mâle, de séducteur conquérant qui possédait sa petite blonde - celle qu’il avait tant et longtemps désirée, et qui lui appartenait maintenant au-delà de ce qu’il aurait pu imaginer auparavant, cette jolie secrétaire quinqua, féminine et raffinée, qui prenait tellement soin de lui. Ceci fit enfin et rapidement monter le plaisir en lui, et il déchargea en poussant des cris de bête blessée, lui envoyant son foutre tout au fond de ses entrailles. Il resta un moment imbriqué en elle, encore haletant, son nœud coincé par le petit sphincter d’Irène, lui caressant doucement les seins et son cou. Son bras derrière elle, elle lui caressait les cheveux, toute heureuse d’être à lui, profitant de ce moment de tendresse. " - Ma petite Irène" lui murmura-t-il amoureusement, "merci d’être là pour moi. Vous me faites tellement de bien. Heureusement que je vous ai… — Oh vous me faites du bien aussi, Fabrizio. Même si le début était un peu brutal… J’aime vous sentir ainsi en moi, j’aime vous voir à l’œuvre, mon grand mâle fougueux… C’est si bon, Fabrizio. Nous n’aurions pas de telles baises, nous n’aurions pas de telles séances de plaisir si nous étions mari et femme." Il sortit à regret de son petit trou, la libéra de son étreinte. Il manquait une douche dans ce grand bureau, ils s’essuyèrent avec les serviettes en papier. Irène se ...
... rafraîchit le visage avec de l’eau minérale. Puis ils retournèrent à leurs activités, avant le déjeuner. — - - Quelques mois après, elle passa cadre, bien que n’ayant aucun salarié sous ses ordres, et cela grâce à Fabrizio, bien entendu. Cela allait avec de nombreux avantages et une augmentation plus que conséquente. Elle était ravie. Elle ne manquait aucune occasion de montrer sa reconnaissance à Fabrizio, son patron chéri, pour qui elle était toujours disponible, tant physiquement que sexuellement. Elle acceptait d’être dérangée le samedi, voire le dimanche, d’être appelée la nuit - ce qui arrivait très rarement, et encore c’était souvent pour pas grand-chose, pour qu’elle l’écoute s’épancher, passer son vague à l’âme, évacuer son stress. Elle était toujours attentive et tendre, chaleureuse, presque comme une mère. Le mari d’Irène se plaignait, maugréait, lui reprochant d’être une esclave pour son patron. Mais Irène le faisait vite taire quand elle lui rappelait quel salaire elle touchait (deux fois celui que lui avait avant de partir en retraite.) Et elle souriait intérieurement, pensant : "Oui, je suis une esclave, et si tu savais… même une esclave sexuelle, mais j’aime ça…! Je l’ai choisi. Et mon "maître" est un amour pour moi, il me comble, à tous points de vue, et surtout sexuellement !" Elle était toujours prête et apprêtée pour lui, toujours disponible, son cul et sa chatte à portée de main sous sa jupe ou sa robe (elle ne portait des pantalons que lorsqu’il était en ...