1. Le prix à payer (8)


    Datte: 12/11/2018, Catégories: Hétéro

    ... déplacement), toujours bien maquillée, élégante, féminine et sexy. Elle avait un gros budget coiffure et son mari s’étonnait de la voir aussi coquette. Il se disait simplement qu’elle refusait de vieillir, et qu’elle faisait des efforts désespérés pour plaire encore. Mais il faut bien dire que c’était réussi. Le rituel du matin quand elle arrivait au bureau, après le bonjour, était le café qu’elle faisait couler pour eux deux, rien qu’eux deux (sauf quand il avait, rarement, des rendez-vous très tôt), puis souvent une pipe qu’elle lui prodiguait pendant qu’il dégustait la deuxième tasse. Elle s’était habituée à avoir ce goût sucré dans la bouche après avoir avalé sa semence blanche juste après le café. Souvent, quand il avait besoin d’elle et qu’elle recevait ses consignes debout à côté de son bureau, il passait une main sous sa jupe et faisait glisser ses doigts entre ses fines lèvres sexuelles ; avant de la libérer il suçait ses doigts goulûment. Il allait parfois jusqu’à glisser un doigt dans son sillon fessier, jusqu’à trouver son œillet et l’y enfoncer avec félicité. Irène se tortillait, gloussait, se laisser branler le cul avec joie. Ils avaient toujours des lingettes dans leur bureau, désormais. Si à la fin de journée, ils étaient restés tard pour travailler, ils profitaient que les bureaux étaient presque vides, et il la prenait, lentement, puis passionnément, et ils se donnaient du plaisir ; et cette explosion orgasmique les vidait, les lavait de tous leurs soucis ...
    ... de la journée, de tout le stress accumulé. C’était un méditerranéen, plutôt autoritaire, assez traditionnel, l’archétype de l’étalon séducteur, mais il n’était pas avare quand il s’agissait de lui donner du plaisir. hpnhuuki Il faut dire qu’il la trouvait toujours appétissante ; après plusieurs années elle lui faisait toujours autant d’effet : rien qu’à la voir en bottes, avec ses bas noirs ou fumée, en jupe marquant bien sa croupe et avec un pull moulant bien ses gros roploplos, il bandait déjà ! Elle savait aussi ce qu’il aimait comme tenue vestimentaire, et elle n’en se privait pas. Il lui arrivait donc souvent de lui ordonner de fermer la porte, les sourcils froncés, sans lever les yeux de son écran ; il allumait le petit feu rouge discrètement. Quand elle s’en apercevait, elle en frémissait d’avance. Puis il se levait, faisait le tour de son bureau, la renversait - plutôt qu’il l’asseyait - dessus, lui remontait jupe ou robe, et il lui bouffait littéralement la chatte comme un affamé. Parfois ça se terminait par une bonne levrette, penchée sur le bureau, et elle se faisait saillir avec force, en admirant le magnifique panorama par les baies vitrées. — - - Fabrizio resta en poste pendant plus de huit ans. Puis il fut mis sur la sellette. Il négocia son départ, sachant qu’il allait retrouver un job dans une entreprise importante. Le patron qui lui succéda était un type un peu plus jeune, sans état d’âme, plutôt indifférent. Au bout de six mois il voulut la remplacer par une ...
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