1. Deux maîtresses femmes


    Datte: 13/11/2018, Catégories: ff, ffh, hsoumis, fdomine, Oral hdanus, coprolalie, init,

    ... les pointes au travers de ma chemise. De par mes confidences antérieures, elle connaissait mon point faible. Je ne résistai pas : je bandai presque immédiatement. — Écarte un peu les jambes ! Là, j’obéis, car le fait de lui montrer mon sexe en procédure d’extension me donnait un petit goût d’exhibitionnisme pas désagréable. Elle se redressa. — Maintenant, tu ouvres mon corsage, bouton par bouton. Lorsque j’eus repoussé les pans du vêtement, découvrant ses seins assez imposants retenus par un superbe soutien-gorge en dentelle rouge, elle me lança : — Décroche les attaches dans mon dos…— On a dit qu’on ne se touchait pas…— Et alors ? Là tu ne me touches pas, juste mes vêtements ! Quelque part, l’argument me paraissait spécieux mais je commençais à ne plus pouvoir réellement mettre deux idées à la suite. Je savais que ma queue pensait maintenant à la place de mon cerveau. J’exécutai l’ordre et les deux globes lourds, pointant un petit peu vers le sol, surgirent à mes yeux. Ils étaient magnifiques, tels que je les imaginais. Les aréoles n’étaient pas très grandes mais les tétons étaient larges et bien en relief, et surtout déjà dressés. — Maintenant, tu suces ! Ce n’étaient pas des ordres qu’elle me donnait, mais des cadeaux qu’elle me faisait ! Rien à faire, mes bonnes résolutions s’étaient envolées ! Elle ne mit pas longtemps à commencer à gémir sous ma langue et mes lèvres qui allaient de l’une à l’autre des framboises chaudes, goûteuses et bien dures… Elle en profita ...
    ... quelques minutes, puis reprit la parole. — Maintenant défais mon pantalon… Fais-le descendre, la culotte aussi… C’est bien… Non, n’arrête pas de sucer, tu regarderas ensuite… Elle souleva un pied, se libéra d’une jambe du vêtement, écarta légèrement les cuisses, soupira encore une fois. — Tes mains, descends-les jusqu’à mes fesses… oui, c’est bien, caresse-les, écarte-les… C’est bien, tu es obéissant, j’aime ça… L’odeur de sa chatte, senteur marine chaude, venait jusqu’à mes narines et ne faisait qu’augmenter mon excitation. Je ne risquais pas de décharger sans contact mais l’envie qu’elle me touche la queue devenait de plus en plus pressante. Virginie plaça ses mains sur sa nuque et, tirant la tête et les épaules vers l’arrière, me présenta ses seins de façon bien saillante. Je savais que cette traction rendait les pointes encore plus sensibles et je n’en lâchais une pour passer à l’autre que lorsque je sentais la pointe durcie presque chaude… La femme ronronnait car de la pointe d’un doigt j’avais atteint son écrou serré de derrière, que je caressais doucement tandis que de mon autre main j’écartais l’un des globes de chair pour bien découvrir l’orifice. Je me demandais si j’allais y pénétrer, alors qu’elle ne m’avait rien encore demandé, lorsque l’ordre suivant claqua : — Ma chatte ! Touche ma chatte ! Je ramenai mes deux mains vers l’avant. Virginie avait écarté encore un peu plus les cuisses pour me donner un accès plus facile à son abricot juteux. Très juteux… Les sucs ...
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