1. Deux maîtresses femmes


    Datte: 13/11/2018, Catégories: ff, ffh, hsoumis, fdomine, Oral hdanus, coprolalie, init,

    ... un sourire, se pencha, déposa un petit baiser sur les lèvres de l’autre femme et répondit : — C’est une excellente idée, ma chérie. Et il faudra aussi l’entraîner à bien tout prendre en bouche en suçant une queue. Et à avaler. Il a fait des progrès mais il doit faire encore mieux. Il doit en arriver à aimer ça. Qu’en penses-tu, toi, mon soumis d’amour ? Je regardai les deux femmes qui m’avaient donné tellement de plaisir et de bonheur ce jour-là. Que pouvais-je leur refuser ? Rien, car refuser, ce serait perdre toute chance de recommencer. Mais il me faudrait aller contre mes instincts les plus enracinés. Toucher la queue d’un autre homme ? Le pénétrer ? Lui offrir ma rondelle ? Le sucer et boire son jus ? Il n’y avait que quelques heures que, pour la première fois de ma vie, j’avais goûté à mon propre sperme… D’un autre côté, j’aimais ma femme comme jamais. Elle m’avait donné ce que je désirais le plus. Elle se révélait encore plus chaude que je le croyais. Et nous commencions à cet instant une nouvelle ère de nos rapports, de nos relations. Oui, ...
    ... je voulais que cela continue… Les deux femmes me regardaient d’un air interrogateur. Elles respectaient mon introspection et attendaient ma décision. Qu’allais-je leur dire ? Que je refusais ? Ou alors qu’elles pouvaient faire venir cet homme, cet inconnu, et que je ferai tout pour réussir à tenir sa queue dans ma main… ? Je jetais un coup d’œil à la mienne, de queue. Elle était dure, rigide, tendue, rouge. Il semblerait que l’idée d’un homme dans mon lit ne soit pas aussi repoussante que je me l’imaginais au premier abord. Prendre son gland dans ma bouche ? Je ressentis un tressautement dans mon membre. Oui, l’idée m’excitait. Un peu. En fait, bien plus qu’un peu… Alors je me mis à quatre pattes, offrant ainsi à mon épouse et à son amante le libre accès à mon intimité, puis je baissai les épaules et redressai la croupe : — Je vous en prie, Mesdames, entraînez-moi à vous satisfaire. Puis je fermai les yeux et j’attendis, rempli d’une délicieuse angoisse, de découvrir ce que mes maîtresses allaient décider pour faire de moi leur serviteur très dévoué. 
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