Deux maîtresses femmes
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
hsoumis,
fdomine,
Oral
hdanus,
coprolalie,
init,
... mouillaient entièrement sa fente et humidifiaient déjà l’intérieur de ses cuisses. Je ne voulus pas aller directement aux points les plus sensibles, je caressai donc les grandes lèvres soigneusement épilées de la pointe de mes doigts, puis je les écartai très doucement, ouvrant largement la fente. Au-dessus de moi, Virginie gémit. — C’est bien continue comme ça et tu auras une belle récompense… Et arrête de me sucer les seins, ils sont trop sensibles. Je reculai un peu le visage et pus ainsi contempler son sexe et mes mains qui jouaient dessus. Virginie baissa le regard vers moi : elle remarqua mon expression d’admiration. Car elle était effectivement très belle. Et encore plus belle dans cette posture d’abandon mêlée de domination… — Toi, tu aimes obéir, n’est-ce pas ? Je le vois à ta queue bien dressée. Ça te fait de l’effet de me servir, pas vrai ? Je secouai la tête, parfaitement d’accord avec son affirmation, mais elle insista : — Je veux te l’entendre dire. Est-ce que tu aimes me servir ?— Oui, j’aime te servir.— On dit « vous » à sa maîtresse ! Et on dit Madame ! Pour qui te prends-tu ? J’eus un sourire, amusé par le rôle qu’elle prenait au sérieux, mais elle n’apprécia pas. Elle se pencha et saisit le gland de mon sexe entre ses ongles. — On obéit à tout ou bien on est puni… Tu comprends cela ? Je décidai de jouer le jeu. Si cela pouvait lui faire plaisir… — Oui Madame, je comprends…— C’est bien… En guise de récompense, elle retira ses ongles de mon sexe et enferma ...
... quelques instant mon gland rouge et dur dans sa paume chaude. — Tu vois, obéissance égale récompense… Maintenant mets-moi un doigt devant, un doigt derrière, et de l’autre main tu me caresses jusqu’à ce que je crie !— Oui Madame…— C’est bien… Je glissai mon majeur dans sa fente pour en recueillir la mouille puis je le tendis, ainsi que l’index, et je pénétrai la femme devant moi simultanément par ses deux orifices. Je dus forcer un petit peu, j’arrêtais mon mouvement de peur de lui faire mal mais elle insista : — Allez, vas-y, ne sois pas mauviette ! Baise-moi le cul une bonne fois ! Je sentis ses hanches basculer un peu vers l’arrière, se cambrant pour me faciliter l’accès, et bientôt le dos de ma main vint heurter sa fourche. Mes deux doigts étaient bien profondément enfoncés en elle. Elle semblait apprécier cette façon d’être prise. Alors de l’autre main j’attaquai sans plus attendre son point de plaisir. Elle rugit. J’insistai. Son jus coulait maintenant de son sexe sur ma main. Elle mouillait fortement. Mais il lui fallait bien affirmer sa domination. Alors sa main vint chasser mes doigts de sa chatte pendant quelques instants, recueillit un maximum de mouille puis vint se planter directement dans ma bouche, m’obligeant à absorber ses humeurs… C’est ce geste, je crois, qui déclencha son orgasme. Je sentis ses deux orifices se contracter sur mes doigts tandis que son bassin basculait vers l’avant. Elle attira de nouveau ma tête vers ses seins et elle cria lorsque je saisis ...