Deux maîtresses femmes
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
hsoumis,
fdomine,
Oral
hdanus,
coprolalie,
init,
... je souffrais car j’avais bien compris qu’elle jouissait beaucoup plus avec son amante qu’avec moi. Ma propre excitation était retombée ! Ainsi donc elle préférait ressentir du plaisir avec une femme plutôt qu’avec un homme. Enfin, avec moi. Avec un autre homme, que serait-ce ? En vérité je ne voulais pas le savoir… Je l’entendis encore respirer fortement pendant une longue période, se refaisant du plaisir, tandis que Virginie couvrait son visage de petits baisers. Puis elles se calmèrent et me regardèrent. — On dirait que ton petit mari ne s’imaginait pas que tu puisses crier aussi fort, fit Virginie.— Qu’il recommence à me lécher, lui répondit Émilie d’une voix dure. Elle était capable d’orgasmes multiples, je le savais, alors je repris ma tâche et quelques minutes plus tard mon épouse cria de nouveau. Elle se remonta sur le lit, s’allongeant confortablement. — Encore ! fit-elle. Mais je n’en pouvais plus, ma langue, ma mâchoire, ma nuque avaient bien travaillé et aspiraient à un peu de repos. — Alors pousse-toi, minable, me lança Virginie. Elle s’allongea près d’Émilie, tête bêche, puis elle écarta doucement les jambes de celle-ci et commença à lécher avec délicatesse la fente qui s’était refermée. Peu à peu, la fleur gonfla de nouveau, — Non, c’est trop sensible, arrête ! Virginie eut un petit sourire. — Je ne crois pas, non. Je pense que tu as peur. C’est la première fois qu’une femme pose la bouche sur ton sexe, n’est-ce pas ?— Oui, répondit Émilie d’une petite voix.— ...
... Laisse-moi faire… Je te promets que ta première fois sera mémorable… Et sans plus attendre elle repartit à l’attaque de l’abricot fendu. La zone devait effectivement être bien sensible car il ne lui fallut pas longtemps pour qu’Émilie agrippe les draps et crie de nouveau son bonheur. J’étais dans une situation étrange. D’un côté, je voyais se réaliser un très ancien fantasme : voir deux femmes se faire l’amour devant moi. Mon excitation était de nouveau quasiment à son comble. D’un autre côté, elles semblaient se satisfaire parfaitement l’une de l’autre, et à la limite ne pas avoir besoin de moi… Émilie, les yeux fermés, parut sombrer dans le sommeil après ses trois orgasmes successifs. Elle était belle dans le plaisir et encore plus dans le relâchement. Elle n’avait plus aucun réflexe de protéger son intimité, ses seins et son sexe étaient entièrement disponibles aux yeux, aux doigts et aux langues. J’aurais aimé la pénétrer mais je savais qu’il s’agirait alors d’un acte égoïste de ma part, car si elle m’acceptait en elle à cet instant, ce serait uniquement pour mon plaisir, pas pour le sien. Mais ma queue, elle, ne faisait pas de sentiment et son gland gonflé ne demandait qu’à s’introduire quelque part et à m’entraîner dans le plaisir en laissant échapper tout son jus. Je m’étais assis sur le lit. Virginie m’avait jeté un regard noir mais n’avait pas voulu parler pour ne pas déranger Émilie. Alors que je me déplaçai un peu, elle me fit un signe de la main, autoritaire : — Ne ...