Deux maîtresses femmes
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
ff,
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Oral
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... interrompit Virginie— De toutes les façons, Madame, je crois vous l’avoir déjà prouvé.— Ne sois pas insolent ! Et ce que tu as fait n’est rien à côté des ordres auxquels tu auras encore à obéir. Bien entendu, tu auras le droit de refuser toute chose que tu te considérerais incapable de faire… Je notai la formulation qu’elle utilisait : elle n’envisageait pas que je puisse refuser de faire quelque chose de ma propre volonté ou parce que je la trouvais moralement répréhensible ou totalement hors de mes goûts, mais seulement parce que j’en aurais été incapable… Une technique utilisée dans la pub, la propagande et dans la manipulation idéologique des masses. Sous-entendre que le refus d’une proposition est attribuable non à la décision réfléchie et au libre arbitre du décideur mais à un échec de sa part, à sa faiblesse ou à son incapacité ne peut que le pousser à s’y soumettre volontairement… J’évitai de sourire en répondant : — Je compte bien vous satisfaire en tout, Mesdames, et être capable d’obéir à toutes vos instructions…— C’est ce qu’on va voir, fit enfin Virginie. Lèche ta femme… Ça commençait bien. Je n’ai jamais été un grand fan de lécher une chatte. Sauf en quelques circonstances bien particulières, fonction de sentiments très forts ou d’une excitation hors norme. Heureusement c’était le cas ce jour-là… Alors je m’agenouillai devant Émilie, écartai gentiment ses cuisses, me penchai, embrassai un peu son buisson coupé court mais je me rendis compte que la position ne ...
... me permettait pas d’avoir accès à son abricot. Alors je fis passer ses genoux au-dessus de mes épaules et rabattis ses cuisses vers le haut. Elle roucoula, mais plus encore lorsque je m’attaquai des lèvres et de la langue à son sexe encore resserré qui s’ouvrit bientôt comme une fleur. Elle gémissait bien fort mais lorsque je lançai un regard vers le haut, je m’aperçus que Virginie lui suçait les seins et l’embrassait, allant des uns à la bouche de son amie et revenant sans perdre de temps. J’entendis bientôt les petits cris auxquels Émilie m’avait habitué et qui annonçaient la proximité de son orgasme. Je redoublais d’effort, suçant, léchant, mordillant, mais lorsque le moment suprême approcha, j’entendis Émilie s’écrier : — Virginie, toi, fais-moi jouir ! Et je vis apparaître la main de l’autre femme qui me repoussa sans égards et se mit à caresser la chatte de mon épouse comme seule une autre femme sait le faire. Les cris d’Émilie atteignirent rapidement le paroxysme. Elle essayait de toute évidence d’écarter encore plus les jambes pour s’offrir totalement à sa maîtresse, laquelle l’encourageait à jouir et à crier encore plus fort. — Allez vas-y, jouis ma chérie, crie, mon amour, je veux t’entendre, je veux sentir ta mouille couler sur mes doigts, inonder ma main…— Oui, je jouis, je jouis avec toi, avec une femme pour la première fois… baise-moi de ton doigt, fais-moi crier, oui, oui… Et enfin la libération arriva en un véritable rugissement de plaisir. Accroupi par terre, ...