Deux maîtresses femmes
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
hsoumis,
fdomine,
Oral
hdanus,
coprolalie,
init,
... discrétion et s’était déshabillée sans que je n’en entende rien, captivé par les agissements de sa copine… — Partons dans la chambre, nous y serons mieux… Virginie retira son doigt de mon fondement avec une certaine violence, mais ce fut la sensation de perte qui fut la plus forte et je gémis de frustration. — Ne t’en fais pas, on va s’occuper de ton cul… et du reste ! me lança-t-elle en appuyant son discours d’une nouvelle claque. Je me redressai et me retournai. Émilie me regardait, un petit sourire aux lèvres. Elle paraissait contente de me voir dans cet état. Ses yeux s’abaissèrent, contemplant mon sexe durci. J’étais dans un tel état que je sentis le poids de son regard comme si une main m’avait saisi la queue. Le sourire de ma femme s’accentua. — Il ne va pas tenir cinq secondes si on le touche, fit-elle. À son tour Virginie me contempla. — Tu as raison. Or nous avons besoin qu’il tienne encore longtemps. Que faire ?— Permettons-lui d’alléger cette tension. Ensuite, il lui faudra quelques minutes pour revenir à un bel état et nous pourrons mieux en profiter… Je ne bougeais pas, attendant la sentence. Le sang battait dans mon sexe dur et rouge. Mon cœur s’accélérait. Qu’allaient-elles décider ? — On le fait se branler ?— Ça serait bien, j’aime voir un homme dégorger devant moi, mais non, il y a mieux. Virginie tendit la main à Émilie, qui la saisit. D’un coup d’épaule ma femme, fit glisser son imperméable qui tomba au sol. J’avais devant moi deux femmes entièrement ...
... nues, chacune chaussée d’escarpins à talons qui leur allongeaient la jambe et remontaient leurs fesses… Elles s’approchèrent l’une de l’autre. Leurs seins furent les premiers à se toucher, et d’un petit mouvement du buste Virginie frotta ses tétons sur ceux de ma femme, laquelle eut un gémissement. Puis elles appuyèrent leurs ventres, et enfin leurs bouches s’approchèrent l’une de l’autre. Mon sexe vibrait à la base mon ventre. Je savais que lorsque leurs lèvres se toucheraient, mon jus commencerait à jaillir sans même que j’aie besoin de me toucher… — Viens, ordonna Émilie. Mets ta queue entre nos ventres. J’obéis. Mes reins basculèrent en avant et mon gland vint se nicher entre leurs ventres chauds, juste au-dessus de leurs sexes. Heureusement, elles étaient de même taille l’une que l’autre et légèrement plus petites que moi. Elles s’embrassèrent. Je jouis instantanément. Ma liqueur retenue entre leurs corps lubrifia l’espace où mon sexe se vidait, multipliant mes sensations. Mes coups de reins devinrent incontrôlés et je ne pus m’empêcher de crier de plaisir. Quatre, cinq jets de sperme… J’avais la sensation que l’orgasme ne s’arrêterait jamais, mais hélas bientôt le calme revint dans mon bas ventre… Les bouches des deux femmes se séparèrent. Elles souriaient. — Voilà une bonne chose de faite, fit Émilie. Maintenant, il sera plus calme et plus serviable. Allons dans la chambre… Les deux femmes se séparèrent. Mon sexe avait un peu perdu de sa superbe. Émilie ajouta : — Attends, ...