1. Section TG (10)


    Datte: 15/11/2018, Catégories: Transexuels

    ... lentement de sa prostration. — Putain mais tu es malade ! Mon PC ! — Oh, eh, arrête ! Je suis sure que tu as une sauvegarde dans tout ce bordel. Et crois-moi, c’est pour ton bien que j’ai fait ça. Pas de PC, pas de trace, pas de trace, pas de flic, etc, etc. Je rangeai mon pistolet, ramassai les douilles et fourrai le PC lâchement assassiné dans mon grand sac. — Bon, chose promise, chose due. On en était où ? Je m’approchai vers lui en laissant glisser ma robe le long de mon corps — Vous ... vous n’allez pas me tuer ? — Mais non ! Pourquoi je ferai une chose pareille ? Par contre, j’entends parler de toi d’une façon ou d’une autre, je reviens et tu iras rejoindre ton cher PC. C’est clair ? — Très ... très clair. J’agitai mon sexe devant son nez. Pierre se détendit doucement. Il s’approcha et goba mon gland. Ses craintes s’évanouirent et me suça franchement. — Je reviens, dit-il soudainement en s’écartant de moi. J’entendis la douche couler. Pierre revint un petit quart d’heure plus tard et reprit là où il s’était arrêté. — Viens, dit-il en me prenant par la main. Il m’allongea sur son lit qui n’avait pas été refait depuis un moment et sur lequel trainaient des vêtements à la propreté douteuse. Il attrapa un t-shirt qu’il jeta à l’autre bout du studio. Il s’allongea au-dessus de moi, son sexe sur ma bouche. Il reprit sa fellation gourmande et je goutais le sien déjà bien dur. J’écartai ses fesses poilues et caressai sa rondelle qui réagit aussitôt. J’y glissai mon pouce. ...
    ... Pierre ronronnait. Il se redressa et rampa jusqu’à mon sexe qu’il prit en main. Tout en me tournant le dos, il glissa un préservatif et s’empala sur ma queue. Il commença à monter et descendre lentement, comme pour profiter pleinement des sensations. — Je peux te prendre ? demanda-t-il en se retournant enfin — Bien sûr, je suis venue pour ça aussi Il m’incita à me mettre à quatre pattes, le visage dans l’oreiller qui sentait la transpiration. S’il suçait plutôt très bien, Pierre était aussi très doué avec sa langue. Il fit une feuille de rose d’enfer. Il se redressa enfin, se protégea et entra en moi doucement. Ses mains serraient fermement mes hanches et me limait le cul sans ménagement. Il se colla sur mon dos et saisit mon sexe. Il s’enfonça en moi au plus profond qu’il put, serra ma bite et murmura à mon oreille : — Maintenant, je te tiens par les couilles, salope ! Je fermai aussitôt mes sphincters, et attrapai sa tignasse grasse. — Je n’ai pas besoin d’un flingue pour te tuer. Alors, fais-ce que fais le mieux. Baise-moi ! Cela calma ses velléités de domination et reprit le coït. — A toi, maintenant. On échangea nos places. Pierre me demanda d’être plus violent. Qu’à cela ne tienne. Je l’attrapai par les cheveux une nouvelle fois et le poussai vers le bureau. Je plaquai et le sodomisait avec fureur. Pierre grognait de plaisir. Il fit de même avec moi, et je devais avouer que ce n’était pas désagréable. Je fus la première à arriver à la jouissance. Je retournai Pierre et ...
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