Section TG (10)
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
Transexuels
... fourrai ma queue dans sa bouche. Mon amant manqua de s’étrangler mais avala avec gourmandise ma semence. Il se releva, me plaqua à nouveau sur le bureau et me pénétra sans ménagement. Il accéléra la cadence et, dans un grognement, remplit la capote. Il se retira, haletant. — C’était trop bon, dit-il pendant que je me rhabillais. On recommencera ? — Ça, j’en doute. — Dommage... Pierre était visiblement déçu. Mais c’était mieux ainsi. Et puis, le plan cul d’un soir avec lui me suffisait largement. — Merci pour ton aide, dis-je en lui faisant la bise. Mais si j’entends parler de toi ... — T’inquiète. Je quittai l’appartement bordélique non sans laisser une enveloppe contenant quelques centaines d’euros, un dédommagement pour le PC que j’avais détruit et dont je me débarrasserai plus tard. 18- Je rentrai à regret sur Paris. Je retrouvai Vanessa à qui je racontai mon périple tout en lui cachant mon entrevue avec Pierre Belmont-Hack’Saur. Bien sûr, elle n’était pas au courant – pour l’instant – de mes projets pour retrouver Fabien. Je repris mon travail d’analyste. Cette fois, ce fut Vanessa qui partit pour quelques jours de congés amplement mérités. Comme convenu, on ne parlait pas de nos missions, mais on en touchait quelques mots en restant dans le vague. Et d’après ce que j’avais compris, elle avait pas mal donné de sa personne, et à priori, plus que la mission ne l’exigeait. Je quittai mon bureau à dix-sept heures, comme d’habitude. Je louai une Autolib et filai vers la ...
... banlieue ouest, vers l’adresse que Pierre avait réussi à débusquer. Une aiguille dans la meule de foin des informations des renseignements généraux. J’arrivai sans trop me perdre sur le parking de la maison spécialisée. L’odeur caractéristique et quelques cris annonçaient la couleur. Pas vraiment gaie. J’apostrophai une aide-soignante qui désigna du doigt une personne sur un fauteuil roulant. Je reconnus Fabien. Difficilement. Etaient-ce son accident, l’arrêt brutal du traitement que l’on nous avait donné après notre enlèvement, ou celui auquel il avait droit maintenant, mais il avait pris du poids et son visage mal rasé était bouffi. Fabien était là prostré sur son fauteuil, la tête penchée sur le côté, un peu de bave séchée sur le cou de sa bouche. — Fabien ? demandé-je doucement Sa tête bougea un peu. Mais si son corps n’était plus que l’ombre de ce qu’il avait été, ses yeux restaient étonnamment expressifs. Il me regarda, se demanda qui je pouvais bien être. — C’est moi, Thierry. Enfin, j’étais Thierry avant qu’on termine ma transformation. On était ensemble avec Jean-Claude et Arnaud. Tu te souviens ? Ses yeux me firent signe que oui. J’allai chercher une chaise et m’installai à côté de lui. Je lui racontai doucement tout ce qui avait pu se passer depuis son accident. Fabien souriait, signe que son cerveau fonctionnait toujours. Mais plus son corps. J’enrageai de le voir dans cet état. — Est-ce que tu as vu du monde ? Sophie Garan ? vcavyykg Ses yeux s’obscurcirent. Je devais ...