1. L'histoire de Géraldine


    Datte: 17/11/2018, Catégories: f, ff, copains, gros(ses), grosseins, telnet, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral

    ... plutôt distinctes mais complémentaires : dans la première, la plus "délicate", je m’étais demandé ce qui pouvait motiver une telle annonce chez une personne de cet âge. Je vous rappelle que j’avais abordé cela comme un "jeu" ! En fait, j’avais été plutôt chanceux. Mais, en même temps j’avais mûrement réfléchi, recommençant plusieurs fois, remplissant quelques corbeilles à papier. Et c’est ainsi que mon sérieux a pris le relais de ma désinvolture. Dans la deuxième partie, je m’étais contenté de demander si l’annonce était réellement… sexuelle (le seul mot qui se "rattachait" à cet aspect des rapports humains !). Puis j’avais écrit que, de toute façon, si "la dame de 45 ans" préférait une correspondance plus "amicale", je serais enchanté de répondre à son attente. J’avais ajouté qu’elle pouvait me "tester", si elle le souhaitait, que je ne m’en offusquerais pas, que je comprendrais qu’elle prenne toutes les précautions nécessaires pour se protéger. Il a fallu deux semaines avant que je ne reçoive une lettre qui avait dû beaucoup l’amuser !… Ça, pour me "tester", elle m’a testé ! J’ai répondu à ses nombreuses questions le plus sincèrement du monde. De toute façon, l’honnêteté avait toujours été une qualité incontournable, pour moi. J’ai conclu cette deuxième lettre en donnant quelques précisions sur moi, auxquelles elle n’avait pas pensé, et en demandant de ses nouvelles. Vous savez déjà que dans la lettre suivante, elle me demandait mon adresse personnelle. Ce que vous ...
    ... ignorez c’est qu’elle a aussi été la plus longue lettre qu’elle m’ait envoyée. Celle-ci fourmillait de détails apparemment sans importances, mais, en lisant "entre les lignes", j’y ai appris de nombreuses choses sur elle. Des choses qui auraient ressemblé à la dernière des indiscrétions, si j’avais osé le demander. Elle s’était "livrée" avec un abandon qui confinait à l’imprudence. Elle m’aurait dit qu’elle VOULAIT que je sois son ami, qu’elle aurait obtenu le même effet ! La chaleur que cela avait mise dans mon coeur, ne m’a pas empêché de me demander si je devais accéder à sa demande. J’y ai consenti après de longs jours de réflexion, et notre correspondance en a été accélérée. Au cours des six mois qui ont suivis, j’ai reçu, parfois une, voire deux lettres par semaine. Je les lisais, quelquefois, plusieurs fois de suite, avant d’envoyer une réponse souvent même pas relue, ni corrigée, avec une impatience fébrile. Une, puis deux semaines ont passé. Rien. Le vide. Je n’étais pas à prendre avec des pincettes, ça, je peux vous l’affirmer !… Il me manquait ma drogue. Et puis, un simple bristol, dans une enveloppe : Frédéric, J’espère de tout mon coeur que tu es bien ce que tu affirmes être. Appelle-moi, mon chéri ! Je t’en prie. Géraldine. Suivait un numéro de téléphone dans le coin, en bas à droite. Le soulagement m’a fait monter les larmes aux yeux… elle voulait m’entendre. Alors, je l’ai appelée. Immédiatement. Il valait mieux pas que je réfléchisse. — Allo Fré… oui ?…— Bonjour, ...
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