1. L'histoire de Géraldine


    Datte: 17/11/2018, Catégories: f, ff, copains, gros(ses), grosseins, telnet, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral

    ... avec elle. Elle s’abandonnait sans aucune retenue à ses larmes. Ça fait un peu pléonasme de dire ça, mais c’est pour que vous compreniez combien sa souffrance était encore présente, même plus de vingt ans après !… Voilà, pour vous résumer cela : Dans la tête de Géraldine, de nombreux espoirs tournaient, augmentait un bonheur auquel elle n’osait croire. Son mari avait changé. Elle savait que c’était en grande partie l’état de sa femme qui avait fait naître l’amour dans son regard : elle était enceinte. Son mari n’était pas spécialement beau mais il était son "homme" ! Elle commençait, elle aussi, à le voir différemment. Ils attendaient, tous trois, que le directeur de la banque veuille bien les accueillir. Une trentaine de minutes plus tard, ils ressortaient de son bureau avec une promesse d’accord de leur prêt, s’il trouvait une ou plusieurs garanties. Leurs quatre parents leur avaient déjà dit qu’ils le seraient : garants. Tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes… et sa vie bascula à jamais. Un homme, dont elle ne put voir le visage, la bouscula, en entrant en hurlant dans le bureau du directeur. Il braqua un pistolet sur le visage terrifié de celui-ci, puis tourna la tête dans la direction du couple. Une voix grave, légèrement énervée, sortit de dessous une cagoule : — Allez rejoindre les autres ! Tandis que l’adrénaline prenait possession de son cerveau, Géraldine sentit deux mains la saisir délicatement aux épaules, et l’entraîner vers la partie publique de ...
    ... la banque. Elle eut juste le temps d’entendre, dans une sorte de brouillard, juste avant que la porte ne se referme, la même voix grave devenir ironique : — Et maintenant, Môssieu le directeur, le coffre ! Plusieurs personnes étaient assises par terre, le long du comptoir des guichets. On leur ordonna de s’asseoir avec les autres. Trois "cagoules" tenaient en respect une dizaine de personnes terrifiées… Tout le monde a sursauté en entendant un coup de feu, y compris les cagoules. Tout de suite après, celle qui était enfermée dans le bureau est sortie passablement furieusement de celui-ci, tandis que commençait à retentir une sirène. Le directeur n’en est pas ressorti, jamais. La "cagoule en chef" s’est adressée à une autre, en lui montrant une liasse de billets maculée de peinture rouge : — Cet enculé a fait sauter le coffre ! Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?…— Y faut qu’on s’tire, c’est foutu ! Les yeux d’un fou se sont posés sur elle, la mettant dans un état proche de la folie, elle-même. — Il nous faut des otages ! Il l’a empoignée et l’a remise debout. Une voix, proche de la cassure, qu’elle connaissait a dit : — Non !… emmenez-moi à sa place !— Toi, ta gueule ! a répondu l’interlocuteur du chef.— On a qu’à l’emmener aussi a ajouté le chef.— On aura pas assez de place dans la bagnole ! a tenté l’un des deux qui n’avait pas encore parlé, d’une voix étonnamment jeune.— Putain, tu ne dois pas parler, bordel !… On y va !… tous ! On les laissera avant de se tirer !… J’ai déjà ...
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