L'histoire de Géraldine
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
f,
ff,
copains,
gros(ses),
grosseins,
telnet,
volupté,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
Pendant que j’épongeais le sol, j’ai jeté quelques regards sur elle. Elle semblait dormir, dans son bain, mais l’instant d’après ses yeux s’ouvraient, et elle ne regardait rien d’autre que moi. Son regard n’exprimait plus seulement de la confiance, ni de la curiosité sur ce que j’allais encore inventer : il avait changé. Je sentais qu’elle commençait à m’aimer… un peu trop. Je me suis "armé", avant d’aller la retrouver, dans le salon de thé. Je ne sais si cela fonctionnera, mais si je fais attention de ne montrer que tendresse et sollicitude à son égard, cela devrait aller… Pourvu que l’amour ne s’en mêle pas. Ça me flatte, quelque part, qu’elle ait franchi ce cap pour moi, mais je trouve cela… dangereux ! Je dois la quitter à la fin de ce week-end. Elle le sait. Je n’ai fait aucun mystère, là-dessus, mais je ne sais pas si elle lutte vraiment, pour ne pas s’amouracher de moi. j’ai plutôt l’impression qu’elle a décidé de laisser faire. Et ça me fait peur. Je ne sais pas ce dont elle a le plus besoin : d’amitié ou d’amour. Ses lettres et ses coups de fil m’ont beaucoup appris sur elle, mais je n’arrive pas à faire la part de ça. Peut-être qu’en l’écoutant me raconter son histoire, la solution s’imposera-t-elle à moi ?!… Quand je m’installe dans le bain, en face d’elle, mon regard ne quitte pas le sien. On se sourit, tous les deux. Elle fait un mouvement vers moi, mais je l’arrête : — Attends… deux secondes… Je coule la tête dans l’eau entre mes genoux, et frotte mon visage, ...
... passe les mains dans mes cheveux un peu longs. puis émerge, lui souris et lui tends les bras : — Viens, mon ange… Tandis qu’elle rampe sur les fesses pour venir s’adosser à mon torse, je vois ses seins lourds et un peu tombants osciller, jouer involontairement avec la mousse du bain. Elle se laisse aller, en soupirant d’aise, contre moi. Un petit rire sort de sa bouche quand sa tête vient heurter doucement le bout de mon nez. Je ris avec elle. On se laisse gagner, un long moment, en silence, par la tendresse et la volupté. Un instant d’une douceur indescriptible. Tandis que mes mains quittent le fond de la baignoire, j’entends un murmure : — Frédéric… Tu veux l’entendre, mon histoire ?…— Seulement si tu veux me la raconter !… Mais, tu n’es pas obligée… Tu sais, je crois que j’en ai saisi beaucoup… perdre son mari et son enfant le même jour, comme ça !… De façon aussi… brutale et… incroyable… personne ne peut sortir indemne de ça !— Je crois que tu VEUX l’entendre !… Je ne sais pas pourquoi…— Tu as raison : je veux que tu me la racontes… Prends tout ton temps, n’omets rien… et je t’en prie, force-toi si quelque chose ne veut pas sortir, c’est important !…— D’accord… S’ensuit un long monologue, entrecoupé de tremblements, de pleurs, de sanglots que je vous épargnerai. Sachez seulement que son histoire est vraiment tragique et que oui : vraiment PERSONNE ne pourrait sortir indemne d’une telle monstruosité ! Mes bras sont venus l’envelopper au plus fort de sa peine, et j’ai pleuré ...