1. Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef (1 / 3)


    Datte: 22/11/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, couleurs, profélève, grossexe, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, facial, Oral préservati, pénétratio, confession, consoler,

    ... sens dans ses propos. — Je me sens si seule, maintenant, lui dis-je entre deux hoquets.— Il faut rire, vous amuser, danser…— Oh oui, j’adore danser… Il hoche la tête, s’approche de moi et je sens son souffle à l’odeur de tabac. Dans un élan de lucidité, je me dis que basket et cigarette ne font pas bon ménage… — J’ai une idée, Mademoiselle, si vous aimez danser. Demain soir, nous faisons une fête, chez un de mes oncles qui travaille à l’UNESCO. C’est vers Pontoise, je passe vous prendre vers 18 h. Donnez-moi votre adresse ! Sans trop réfléchir, je lui marmonne mon adresse qu’il note avec soin sur un bout de papier chiffonné qu’il sort de sa poche. Puis, dans un geste de galanterie surprenante de sa part, il serre sa main posée sur la mienne et me fait descendre de l’estrade. Je ramasse mon sac, mes cours et passe devant lui vers la porte. Au moment de la franchir, il me saisit par le coude et dépose un baiser sur ma joue. Je sursaute de surprise, m’attendant à tout sauf à çà… — À demain 18 h, me souffle-t-il. J’ai vite oublié cet intermède en arrivant chez moi. Agacée par les programmes TV alors que j’aurais dû être dans un douillet petit hôtel de Deauville, je décide de faire le ménage à fond dans mon deux pièces, ce qui n’était pas arrivé depuis près d’un mois, Fourbue mais toujours animée d’une rage profonde envers Patrice, je m’endors tard en rêvant malgré moi des étreintes que je n’ai pas eues depuis trois semaines et que je n’aurai plus ! Durant l’après-midi du ...
    ... lendemain, je repense à l’invitation d’Abou. Accepter une invitation d’un de mes élèves de six ans de moins que moi est une chose dont je répugne. D’un autre côté, j’ai été sensible à ses gestes empreints d’attentions devant mon profond désarroi, et je ne veux pas rester à penser à mon ex-amant qui doit probablement passer du bon temps aux USA alors que je tourne en rond dans mon appartement. En plus, je suis invitée dans une maison de diplomate, il ne peut rien m’arriver de fâcheux ! Bon, je décide de ne pas prétendre une quelconque migraine et de me jeter à l’eau. Je ne sais trop comment m’habiller pour cette soirée, puisque la seule chose que je sais, c’est que je pourrai danser. J’opte finalement pour une tenue à la fois féminine et pas trop sexy, un petit tailleur noir gentiment décolleté avec une veste blanche, des escarpins assortis et des dessous coordonnés en vichy rouge et blanc. À 18 h précises, la sonnette retentit, et j’entends la vois d’Abou : — Elodie, nous vous attendons en bas. Hum, il connaît mon prénom ! Abou est sapé comme un rappeur, costume et chapeau noirs, chemise blanche qui le fait paraître encore plus grand. La voiture dans laquelle il me fait monter est une vieille guimbarde américaine, rouge pompier. Il me présente le chauffeur, un dénommé Youssef, à la coiffure rasta, et les deux couples assis à l’arrière. Ce sont tous « ses cousins », mais j’ai l’impression qu’il a un certain sens de la famille particulièrement élargi ! Je m’installe à l’avant entre ...
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