Cocu or not cocu
Datte: 26/11/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
collection,
amour,
... retrait. Ça m’a fait très mal. J’ai dit : — Tu ne veux plus de mes baisers maintenant ?— Ce n’est pas ça… Son visage s’était empourpré. Elle hésitait à poursuivre sa phrase. Son regard me fuyait. — C’est qu’il m’a raccompagnée, et qu’au moment de partir il a voulu que je lui fasse… J’avais compris. J’ai dit : — Une pipe ? Et il a joui dans ta bouche ? Elle a acquiescé de la tête. — Et tu penses que c’est ce qui va m’empêcher de t’embrasser ? J’ai forcé sa bouche. Nos langues se sont mêlées. J’y ai retrouvé ce subtil nectar qui m’embrasait, cette fraîcheur, cette douceur qui m’affolaient. Mais il s’y mêlait cette fois un léger goût acre et suave. Une saveur nouvelle et subtile. Sans doute le sperme encore bouillant de son amant ! J’ai apprécié, j’ai raffolé de ce parfum nouveau dans sa bouche. Et j’en ai redemandé. Nous avions repris un instant notre souffle et j’avais à nouveau été chercher d’entre ses lèvres ce miel nouveau ! Puis j’ai été impatient de savoir ! — Alors, raconte, ma chérie. Nous nous sommes installés au salon, elle s’est lovée contre moi. Je l’ai regardée dans les yeux avec amour pour lui indiquer à quel point elle pouvait s’ouvrir à moi. Elle a dû le ressentir car, de suite après, elle s’est confiée sans restriction. — Je t’avais déjà parlé de ce client qui devait nous confier la gestion d’un de ses immeubles. Ce matin nous avons conclu l’affaire, et tu devines comme nous étions ravis, James et moi. Aussi, dès qu’il est parti, spontanément, nous nous sommes ...
... jetés dans les bras l’un de l’autre. Ce n’était pas la première fois qu’il avait tenté ce genre de geste, mais jusque-là, malgré mon envie d’y céder, je l’avais à chaque fois repoussé. Mais soudain j’ai eu une très forte envie de lui. J’ai tout oublié, toi, ma morale, ma pudeur. Je m’abandonnais à sa bouche, ses caresses, bien plus, je les sollicitais, je les devançais. En un rien de temps je me suis retrouvée nue. Et il m’a prise debout, courbée sur le bureau, avec frénésie. C’était merveilleux ! — Oh, mon amour comme je suis content pour toi !— Tu ne m’en veux pas ?— Pourquoi t’en voudrais-je ? N’est-ce pas moi qui te l’ai proposé ? Vous avez pris des précautions, j’espère ?— Oui, bien sûr ! J’étais rassuré. J’étais si ravi aussi de la savoir heureuse. J’ai poursuivi : — Et après ?— Après, pour fêter l’événement, il m’a invitée au restaurant. Il s’est montré tendre et amoureux. Si empressé que, dès le retour au bureau, il m’a prise à nouveau sur la moquette. Oh, mon amour, comme c’était bon de s’offrir à un autre homme ! Je te remercie de m’avoir permis de connaître ce bonheur. Je t’aime tant ! Elle m’a donné à nouveau à goûter ses lèvres parfumées. Elle a continué sa narration. — Plus tard dans l’après-midi, nous avons encore fait l’amour.— Dis-donc, il a une drôle de santé, dis-je, dans le fond un peu jaloux ! Je ne sais si c’était ses confidences ou une envie naturelle d’elle de ma part, mais je me sentais très excité. J’avais à mon tour envie d’elle. Je l’ai transportée ...