1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°841)


    Datte: 07/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode N°827) – Les deux hommes se levèrent, et Monsieur Le Marquis d’Evans claqua des doigts, me faisant comprendre que je devais sortir de dessous la table. - Lève-toi ! Que vont dire les clients de ce restaurant vanille, s’ils te voient dans cette position ? dit-il avec ironie. Je me dépêchais donc de me mettre debout, jetant un regard furtif autour de moi, et voyant quelques personnes me regardant avec un sourire pervers en coin. Je ne comprenais plus, j’étais vraiment persuadée que les clients devaient être de notre monde, et le Noble venait d’affirmer qu’ils étaient du monde vanille… Ce qui était arrivé auparavant me revint et je rougis de honte à l’idée de ce qu’ils avaient vu ! … Je suivis les deux hommes qui traversèrent le restaurant, se dirigeant vers les toilettes, me semblait-il. Sauf que je n’avais pas fait attention à la porte qui se trouvait juste à côté avec écrit « Salles privées ». Walter ouvrit la porte et s’effaça pour laisser passer le Maître, et me fit signe de Le suivre, et il referma la porte derrière lui. Nous nous trouvions au début d’un long couloir aux murs rouges, au plafond noir avec ci-et-là des petits spots de lumière colorée. Le long de ce couloir se trouvait de nombreuses portes. - Je vais te bander à nouveau les yeux. Et tu vas évoluer comme la chienne que tu es à quatre pattes. Exécution ! Le couloir était silencieux, aucun bruit ne semblait sortir des différentes pièces qui devaient se trouvaient ...
    ... derrière les portes, je n’hésitais donc pas trop à obéir. Je sentis un collier se refermer sur mon coup, et j’entendis qu’on y passait une laisse. - Lorsque tu t’es habillée, tu as eu l’autorisation de quitter ce collier qui montre que tu es Ma propriété, mais là, je tiens à ce que tu apparaisses comme ce que tu es, c'est-à-dire Ma chienne ! Et j’entendis qu’on me baissait la fermeture éclair de ma robe et qu’on en faisait glisser les bretelles le long de mes bras. Sans qu’on ait à me l’exiger, je levais mes mains l’une après l’autre afin de les libérer du tissu, et sous l’impulsion de la laisse j’avançais un peu pour que le reste de la robe glisse le long de mon corps. J’étais heureuse que le Maître m’ait reposée mon collier, cadeau qu’Il m’avait fait en acceptant mon entrée officielle dans Son Cheptel. Je n’aimais pas le quitter quand je devais répondre à mes obligations de femme vanille ! Mais là, malgré ce plaisir, je frissonnais ! Monsieur Le Marquis avait précisé à un moment que nous sommes dans un milieu vanille dans la salle du restaurant et pour quelques instants après, me mettre à nue et me poser mon collier en précisant qu’Il me veut chienne ? Il jouait vraiment avec mes doutes et mes appréhensions ! Mais comme une bonne soumise MDE, qui sait que porter Ses Initiales se méritent, je décidais d’arrêter de me poser des questions inutiles ayant toute confiance en Lui, et donc d’accepter tout ce que le Maître pourrait exiger, étant sincèrement certaine qu’Il ne me mettrait ...
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