1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°841)


    Datte: 07/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... m’avait fait l’effet d’un baume réparateur. Comme Il l’avait annoncé, je sentis qu’Il présentait un verre d’eau devant mes lèvres, et je pris le temps pour alterner gorgée d’eau et profonde respiration pour me remettre totalement… Puis à nouveau ce fut le silence profond. Au lieu de paniquer cette fois, rassurée par les paroles précédentes du Châtelain, je me mis à réfléchir ce que je ressentais. Cela faisait un peu plus de trois ans que j’appartenais à Monsieur le Marquis d’Evans, mais cela ne faisait que quelques jours que je vivais ma soumission en réel, et non plus simplement derrière un écran. Et force était de constater que je n’avais jamais été aussi heureuse, aussi épanouie. Pour le moment le Maître était en Bretagne, mais Il n’allait pas tarder à partir pour retrouver sa belle région du Beaujolais. Comment reprendre ma vie alors ? J’en avais pour au moins un mois avant de pouvoir devenir Sa secrétaire. Et même à ce moment-là, je ne verrai le Maître qu’une fois par mois en réel. Cela me suffirait-il ? Le Maître était une vraie drogue, plus je passais de temps à Ses pieds, plus je voulais y être ! J’avais besoin de Lui, besoin de Sa domination, de Son emprise sur moi en réel ! Plus j’avançais, plus je voulais vivre ce que j’étais en permanence. Mais comment pouvais-je y arriver ? Je n’aurais pas eu d’enfants, de mari, j’aurai pu tout abandonner pour le Noble ! Mais ce n’était pas le cas, et je me sentais malheureuse de ne pas pouvoir vivre à fond ma soumission. ...
    ... Et je ne pouvais en aucun cas avouer à mon mari ce que j’étais profondément, je savais, pour avoir essayé un jour de savoir ce qu’il pensait, que pour lui ce monde était fait de personnes fortes et profiteuses abusant de personnes faibles que limite il méprisait ! Comment dans ces conditions lui avouer quoi que ce soit ?... Je n’eus pas le temps de pousser plus en avant mes réflexions que j’entendis des murmures dans la pièce, de nombreux murmures, trop nombreux… je ne voyais rien à cause de mon bandeau, mais j’avais l’impression que plusieurs dizaines de personnes se trouvaient autour de moi. On ôta le bandeau de mes yeux et on me força à tourner la tête de gauche à droite et de droite à gauche afin que je puisse observer ce qui m’entourait. Nous nous trouvions dans une pièce sombre, éclairée par des chandeliers, les murs noirs, les rideaux et les meubles couverts de tissus rouges. J’avais bien deviné, de très nombreuses personnes étaient rentrées dans la pièce, et parmi elles, je repérais de nombreux clients du restaurant, ainsi qu’Alexandre qui avait un immense sourire satisfait et pervers. À ma gauche, tout près de la tête, une desserte sur laquelle étaient disposés divers instruments, badine, cravache, fouet, différentes pinces, batterie… Batterie ? Mais qu’est-ce qui m’attendait ? - Chers amis, quand on trouve quelque chose qui nous plaît énormément on a envie de la partager ! Aujourd’hui, je viens vous présenter ma dernière acquisition. Encore à l’essai et donc en ...