1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°841)


    Datte: 07/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... jamais dans une position préjudiciable pour ma vie vanille !... Obéissant à une claque donnée sur mes fesses et un à-coup sec sur la laisse, je me mis en marche, perturbée par l’absence de vision. Je trébuchais à de nombreuses reprises, n’étant pas habituée à ce genre d’exercice, vite remise d’aplomb à chaque fois par un coup de cravache sur ma croupe. Au tournant que l’on me fit prendre je devinais que nous rentrions dans une pièce, comme j’avais remarqué que le couloir était droit. En revanche, la porte n’avait fait aucun bruit en s’ouvrant ! On me dirigea dans la pièce et me fit monter sur une table. On m’étira les bras au-dessus de la tête et on les attacha. On me lia les chevilles aux cuisses et on les fixa solidement, jambes largement écartées, de chaque côté de la table. J’entendis le Châtelain et Walter discuter entre eux à voix basse. Impossible pour moi de comprendre ce qu’ils se disaient, mais je doutais que ce soit un bon présage pour moi. Je me demandais où je me trouvais. Je n’ai jamais entendu dire que dans les restaurants, on pouvait accéder librement aux salles privées, qui en général sont des bureaux administratifs ou des salles réservées aux personnels ! Et puis ces gens qui ont eu l’air à peine étonnés de ce qu’ils avaient vu avec leurs sourires vicieux, ou alors ils n’avaient rien laissé paraître d’autre… Toutes à mes réflexions, je ne me rendis pas compte du silence qui régnait dans la pièce. Plus un murmure, plus une respiration ! La porte ne faisant ...
    ... aucun bruit, le Maître et Walter avaient du sortir. Lorsque je m’en rendis compte, il me fallut une grande concentration pour ne pas paniquer. Et si quelqu’un rentrait ? Comment justifier ma présence et ma position ? Ma respiration s’accélérait malgré moi, j’avais beau essayé de la contrôler, ne pas me laisser aller à la peur, le silence, la perte de vue, l’angoisse, tout s’amplifiait ! Je savais que si je ne faisais pas attention, je risquais la crise d’angoisse ! Je ne trouvais rien à quoi me raccrocher pour me calmer… Lorsque soudain, peu de temps avant que la crise ne se laisse éclater, je sentis de douces caresses apaisantes sur mon corps, et la Voix que je chérissais tant s’éleva, rassurante. - Calme toi Ma chienne ! Rappelle-toi que tu n’auras jamais rien à craindre tant que tu seras sous Mon joug ! Je ne voulais pas te faire savoir Ma présence, mais je ne tiens pas à ce que tu fasses un malaise. Rassure-toi, je ne te mettrai jamais en danger, et tu le sais ! Je vais te donner un peu d’eau, et après tu devras attendre le temps qu’il faudra, le temps que je déciderai, mais en toute confiance. Que je sois dans cette pièce ou non, rien de préjudiciable ne pourra t’arriver ! Au fur et à mesure que le Maître parlait, mon rythme cardiaque se calmait, j’arrivais à nouveau à respirer profondément. Il n’avait rien dit de ce qui m’attendait, mais mon cœur avait reconnu qu’Il avait toujours été d’une grande discrétion par rapport au monde vanille. Et Sa voix chaude et rassurante ...