1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°841)


    Datte: 07/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... apprentissage, elle est pourtant fort prometteuse ! Je vous laisserai en juger chacun votre tour tout à l’heure, au vu de votre nombre, pendant 3 minutes chacun. Mais en attendant, elle mérite une punition et je laisse mon Majordome, qu’elle a blessé, le soin de choisir sa punition. Tout ce que j’exige c’est qu’elle soit publique et donc appliquée devant vous tous. J’étais pétrifiée par ce que je venais d’entendre ! Il y avait bien une quarantaine de personnes, ce qui faisait deux heures de « tests » à subir, sans compter le temps de la punition ! Et quelle punition cela allait être ! Humiliante du fait d’être appliquée devant des inconnus, et entièrement le fait de Walter, qui n’était pas réputé pour faire dans la douceur ! - Merci, Monsieur le Marquis ! Comme cette chienne n’a pas su retenir ses dents, elle va savoir ce que des dents peuvent provoquer ! Et elle recevra vingt coups de badines ! Et il se saisit sous la desserte, où je ne pouvais voir ce qui s’y trouvait, un seau de différentes pinces crocodiles de modélisme. - Chienne, je ne veux pas t’entendre ! Il me plaça une pince sur chaque téton, me tirant des grimaces de douleurs en sentant les dents se refermer sur la peau sensible de ces petits bouts de chaires. Il en plaça cinq sur chaque sein en forme d’étoile, puis six sur chaque flan. Lorsque le Majordome plaça une pince sur mon clitoris je ne pus retenir un gémissement de douleur, tellement la décharge avait été intense ! - La chienne, silence ! Tu viens de te ...
    ... rajouter dix coups de badine ! Et je te promets que tu vas les sentir passer ! Puis il finit par mettre cinq pinces sur chacune de mes lèvres intimes. Il se saisit alors de la badine. Les vingt premiers coups furent douloureux. À chaque fois, je devais les compter à voix haute et remercier Walter du temps qu’il prenait pour me corriger et m’apprendre à maîtriser mes dents de petite chienne. Je serrais d’ailleurs ces dernières pour ne pas que le moindre son puisse parvenir aux oreilles de celui qui me fustiger. Les coups tombaient sur le haut de la poitrine au-dessus de mes seins, sur mes fesses, à l’intérieur de mes cuisses. Et plus il frappait, plus je me surpris de mouiller abondement. Ma cyprine coulait, j’étais trempée d’excitation … - Pour les dix derniers coups, tu es autorisée à crier ! Ce qui ne me rassura absolument pas ! Il prit son temps avant de commencer, laissant monter l’appréhension en moi, faisant siffler la badine près de mes oreilles. La tension était à son comble, je tremblais et fermais les yeux en attendant que le premier coup tombât. Lorsque celui-ci arriva, je hurlais sous la douleur. Il n’avait pas retenu sa main, le coup était cinglant, et vicieusement appliqué entre les pinces des seins, les faisant bouger, au point presque, me semblait-il, de pouvoir les arracher. Il espaçait bien chaque coup laissant la douleur irradiait toute mon échine. Les larmes coulaient sans que je ne puisse les en empêcher, les cris se succédaient, déchirant le silence qui ...