1. Bourgeoise remplie au sperme (4)


    Datte: 26/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    A l’évidence, le garçon n’en était pas à son coup d’essai. Il prit sa queue d’une main et la frotta entre les lèvres de l’abricot bien fendu, histoire de trouver l’orifice rapidement. Pendant ce temps, un beur au sexe épilé et très foncé s’était en train de s’allonger devant la femme; Il s’appelait Samir. A la façon dont Ces mecs se branlaient sans vergogne les uns devant les autres, et devant des inconnus, on comprenait tout de suite que ma propriétaire n’était pas la première à venir dans cet endroit d’où on avait banni toute pudeur. Jules désormais poussait sa bite : - Aïe, vous me déchirez, arrêtez, arrêtez... - Bien sûr que j’te déchire salope ! Et j’peux même te dire que c’est super bon. Tu vas dérouiller, mais pas de souci, tu vas t’y faire... Tout le monde s’y fait... et tu vas bientôt couiner... tu vas aimer ça... tu vas en redemander du gros morceau ! - Vous me faites mal ! - Ouaiiiiis, c’est bon, c’est bon. J’la sens bien étroite ta chatte au bout de mon nœud....Mais j’vais te faire du bien. T’es bonne là. Putain les gars elle est vraiment étroite c’est bon. - C’est pas elle qu’est étroite, c’est toi qu’est gros ! - Putain c’est vrai que t’es un monstre, même la mère à Titouan elle le dit, hein Titouan ? Florian, qui semblait connaître le Titouan en question, lui demanda : - C’est vrai Titouan, ta mère elle a vu la bite à Jules? - Ouais, elle l’a vue et il l’a niquée... toute façon il saute sur tout ce qui bouge. - Sans dec ? Raconte ! Titouan rapporta donc cette ...
    ... anecdote au moment où Jules accélérait son va-et-vient arrachant enore à la bourgeoise des cris qui devaient s’entendre dans tout le sous-sol et peut-être même au rez-de-chaussée. - Aller, bouffe les roustons à Samir. Elle s’y mit ce qui eut pour effet de calmer ses cris. J’assistais à ce que j’avais vu dans des film porno. Le cul de la femme claquait sous la violence des chocs répétés. Elle bouffait les couilles du type qui lui pilotait la tête pendant ce temps là pour la conduire précisément là où il voulait dans son entre-jambe. Inutile de dire que je bandais à mort, mais je pus me concentrer sur le récit de Titouan : "Un soir, j’suis venu chez mes vieux avec Jules. Mon père y regardait un film où une meuf se faisait sauter et ma mère elle faisait de la couture ou des conneries comme ça. Alors j’ai dit que la meuf elle aimerait sûrement se faire sauter par Jules vu qu’il a une grosse bite comme jamais on en a vue. Alors mon père et ma mère ils ont dit que c’était des conneries mais je leur ai dit que non, alors mon père il a dit, manière de rigoler : "Tu nous ma montre" et ma mère elle a fait "même pas cap" Mais Jules il s’est pas démonté, tout façon dès qu’il peut sortir sa bite celui-là, il y va; alors il a baissé son froc avec son gros truc qui bandait même pas mais qui tenait tout seul droit devant, même que mon père il s’est levé pour se rapprocher et dire que même à l’armée il avait pas vu un bazooka pareil et que même que ça devait le gêner le Jules parce que y’a pas ...
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