1. Bourgeoise remplie au sperme (4)


    Datte: 26/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... nus les uns devant les autres, n’hésitant pas à se caresser le cul ou se frôler la grappe et j’en déduis qu’en l’absence de femme, ils devaient s’amuser entre eux. Je compris mieux pourquoi Florian m’avait spontanément saisi le sexe tout à l’heure et pourquoi, en ce moment même, tout en se branlant de la main droite, il me tenait par l’épaule de la main gauche, serré contre moi, les yeux fixés vers l’orgie qui se déroulait à nos pieds. Je dois le dire, j’aimais ce contact. Et je me surpris même à penser qu’il devait être bon de se mettre à la place de la femme. Enfin, très tard, ce fut mon tour, en avant dernier, avant que Florian ne passe lui même. Du reste, il ne restait que Vladimir, Gurvan, Jules, Florian et moi dans la cave Les autres s’étaient éclipsé, lassés d’attendre sans doute un second tour qui tardait à venir ou pensant peut-être ne pas pouvoir recharger leurs couilles pour remettre ça, ce qui n’était pas le cas de Jules qui retriquait déjà solidement. Je me concentrai pour bien profiter de ma première pénétration vaginale. Je ne l’avait pas imaginée comme cela, plutôt au calme, bien tranquillement avec une petite fiancée, mais l’occasion faisant le larron.... Je fis comme les autres. Je m’appuyai solidement sur mes bras et tâchai de trouver le trou. Forcément je tâtonnai un peu et visai tout d’abord trop haut. Par quelques mouvements du bassin qu’elle fit vers moi pour me présenter l’orifice et par les ajustements de ma position je trouvai enfin la porte du ...
    ... bonheur. J’y glissai en douceur, d’un seul coup, tout naturellement. J’en appréciai immédiatement le confort, la chaleur et l’humidité. On était bien dedans. Par contre j’ y étais moins serré que dans le cul que j’avais pénétré un peu plus tôt dans la soirée. Et j’avoue que je regrettai cette sensation de pression sur la bite. Il n’empêche, pas besoin de gel, pas besoin de vaseline, l’engin pistonnait sans peine dans un petit bruit semblable à celui que la terre humide produit sous les pas, quand toutefois les acclamations autour me permettaient de l’entendre. La queue ainsi en action, et plutôt satisfait de m’en être tiré sans éveiller de commentaires qui auraient pu accompagner ma perte de pucelage, je pus me concentrer sur le reste. On s’habitue à tout. Il y avait sans doute largement plus d’une heure que nous étions dans cette cave dont l’atmosphère était surchauffée. Un inconnu qui serait arrivé à cet instant aurait sans doute été suffoqué par cette température et se serait sans doute aussi pincé le nez devant l’odeur de foutre et de sueur chaude qui emplissait la turne. Mais dans le feu de l’action, on n’y prenait plus garde. Cependant, en me penchant sur la femme, mes narines furent frappées par les forts relents de sperme qui montaient de sa poitrine, de ses épaules, de son cou et même de sa bouche. J’en étais suffisamment près pour en être marqué. Cela sentait même très fort. J’aurais dû réaliser ce que cela impliquait mais non. C’est ainsi que, lassé d’avoir les bras ...
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