1. Bourgeoise remplie au sperme (4)


    Datte: 26/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... T’aimes le jus ? T’aimes le jus ? Réponds salope ! Tu sais, moi ce que j’aime, c’est de recouvrir de sperme les vieilles bêcheuses comme toi. Alors, t’aimes le jus ? Tu la veux ma sauce ? Avec le sperme séché et l’odeur de pisse qu’elle portait sur elle, la réponse me paraissait évidente mais elle la formula quand même à voix très basse : - Oh oui, j’aime le jus, remplis-moi de tes couilles gros porc - J’en étais sûr, elle se lâche... t’es vraiment une grosse cochonne. A genoux! Il se retira et se planta face à elle, les jambes bien écartées, solide sur ses appuis et, la tête en l’air , jurant comme un beau diable, après de vigoureux coups de poignet, il juta sur elle. Trois ou quatre lourdes larmes percutèrent le haut de la poitrine palpitante et, ensuite, une pluie plus légère et plus éparse de gouttes plus fines s’égaya sur les seins, le menton ou le visage. Une énorme trainée blanche, pareille à de la glace qui fond, serpenta de haut en bas sur le sein gauche, lentement, puis recouvrit le téton en basculant dans le vide. Elle y resta accrochée un court moment en s’étirant au fur et à mesure qu’elle se détachait, puis elle s’écrasa sur le sol. Déjà, un mec se présentait par derrière, lui plaquait la queue entre les fesses et, trahissant en cela aussi une certaine habitude, sans se soucier du foutre qui les recouvrait, saisit les nichons à pleine s mains pour les pétrir de vive force. Notre pauvre amie demanda grâce, arguant de sa fatigue qui, il est vrai, devenait ...
    ... visible. Il en fut tenu compte. On l’allongea sur le dos et chacun la pénétra en missionnaire, ce qui n’en rendit pas les coups moins virulents. Les culs s’agitaient, les reins se contorsionnaient, les muscles des bras et du dos se tendaient à chaque fois qu’un garçon ahanait sur la bête. Les gars s’encourageaient et commentaient leurs prouesses de virilité, obéissant chacun à un rituel tacite qui les faisait s’extraire à l’approche de l’orgasme pour venir éjaculer sur les seins ou le visage de la dame et, pendant qu’ils se décrassaient la pine au plus profond de sa bouche, un autre mâle prenait position entre les cuisses, commençait la pénétration avant de s’allonger de tout son long, une fois la place entièrement libérée par son prédécesseur. Cette tournante me fascinait. J’étais comme hypnotisé par ces corps transpirant à grosses gouttes et dansant leur ballet obscène, le mouvement rotatif et régulier des mamelles ondoyant au rythme des coups de bites, le glands luisants, gonflés au moment où s’échappait leur blanche liqueur. La femme était offert, les jambes bien écartées, les bras cherchant les muscles particulièrement quand les tourments de l’orgasme la soulevait et elle en connut plusieurs à moins que ce ne fût le même qui se calmait, s’éteignait ou se rallumait au tempo des différents savoir-faire déployés par les étalons successifs qui, sans doute, n’était pas d’égale qualité. Je remarquais quand même l’intimité de tous ses jeunes hommes qui, leur plaisir assouvi, restaient ...
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