1. Bourgeoise remplie au sperme (4)


    Datte: 26/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... une nana qui peut se prendre un rondin comme ça dans la chatte. Alors ma mère elle a dit que ça lui faisait même pas peur et ils se sont pris a tête avec mon daron parce que lui il insistait pour dire que non et elle pour dire que oui. Alors mon père il a dit qu’il y avait qu’à essayer et que comme ça, elle ferait moins la fière quand elle l’aurait dans le cul la grosse bite. Mais comme il bandait pas Jules, ma mère elle a dû le sucer un peu. Puis après, elle s’est allongée sur la table comme ça elle avait la chatte au bord et il a pu la prendre debout. Mon père il regardait de près, il a sorti son zguégue. Ma mère elle a rien dit par fierté mais on voyait bien à la gueule qu’elle faisait que ça lui faisait limite plus mal que de pondre un gosse. Puis elle s’y est fait, alors on l’a montée à tour de rôle et on a tous joui dedans et depuis des fois, mon père et Jules ils la rebaisent mais pas moi j’aime pas trop ça, c’est ma mère quand même"! Pendant le temps que se déroulait cet édifiant récit, Jules tapait le cul à coups redoublés en se cramponnant aux hanches pendant que la femme, domptée désormais, lâchait des plaintes heureuses entre deux coups de langues sur les burnes du gars allongé devant. - Putain qu’elle est bonne. C’est_une_putain_de_bonne_chatte ! - dit Jules en détachant chaque mot avec lenteur et d’une voix de stentor. Puis, après une bonne claque sur le cul, il se retira, mit la bourgeoise sur le côté et s’allongea dans son dos pour la prendre ainsi. Un ...
    ... troisième gars vint se substituer à Samir pour se faire bouffer la pine. Tous les autres se pignolaient ce qui me rendaient dubitatif. Si, moi, je m’étais masturbé comme il le faisaient, j’aurais déjà joui. Je n’avais pas besoin de toucher ma queue qui tenait droite toute seule. Je crois que je n’avais jamais triqué aussi longtemps et aussi fort. En fait je m’étais habitué à l’action comme si c’était normal de me retrouver là. J’attendais mon tour, en espérant cette fois-ci goûter aux plaisirs du vagin. Mais tous ces garçons étaient des bêtes de sexe, endurants, avides d’utiliser au maximum la chance qui leur était offerte. On attendait que Jules libère la chatte pour prendre la place. Mais il fallut encore qu’il la baisât en missionnaire, puis debout, elle pliée en deux devant lui, suçant Titouan qui bavait au sens propre comme au figuré, tout son plaisir. Jules avait épuisé plus rapidement son lot d’insultes que sa capacité testiculaire mais il commentait néanmoins sans relâche. Les "salope, chiennasse, cochonne, grosse truie, bourge de mes deux, outre à sperme, garage à bites, rince-burnes...", tout y passait au plus grand bonheur de Marie-Clotilde qui semblait jouir à moins qu’elle ne fît semblant - T’es pas la première bourge que je baise. T’inquiète, le Jules il est connu pour sa bite, mais t’es vachement bonne, t’es chaude comme une barque à frites. Tu fais pas mine de prendre ton pied. Quand il eût essayé toute les positions, il la reprit en levrette pour le bouquet final. - ...
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