Bourgeoise remplie au sperme (4)
Datte: 26/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... tendus je m’allongeais entièrement sur le corps de mon altière logeuse. J’étais à peu près de la même taille qu’elle et, au moment où mon torse comprima sa poitrine sous mon poids, je sentis toute l’humidité de la jute qui la recouvrait; j’en serais tout mouillé aussi, tant pis ! Ainsi placé, je pus lui susurrer des ordures dans l’oreille : "Tu fais moins la fière là, hein ? Il sont où tes grands principes quand on te défonce la chatte ? Tu me trouves toujours aussi mal élevé ? Tu aimes que je me balade dans ton vagin " ? En retour à cette provocation, j’eus droit à une très forte pression sur mes fesses. Elle y enfonça ses ongles, longs et affutés, à m’en faire mal... pour mon plus grand plaisir d’ailleurs et à ma grande surprise... et comme je me dressai dans ce qu’elle prit sans se tromper pour un geste de satisfaction, elle remonta ses griffes jusque dans mon cou, traçant dans mon dos des sillons rouges qui mirent deux ou trois jours à s’estomper. - N’oublie pas de lui crémer la gueule ! ayhatte - Oui, oui, j’vais lui couvrir sa tronche de richarde de mon jus, vous inquiétez pas ! Et de fait, lorsque je sentis l’orgasme venir, je me dégageai, quoique maladroitement car elle m’enserrait comme une proie, et je fus assez heureux pour lui plonger le gland entre les dents, juste à l’instant de jouir. - Garde tout dans ta bouche, garde tout dans ta bouche cochonne, j’arrive ! L’ordre venait de Jules. J’avais à peine basculé sur le côté, qu’il l’empoignait par les cheveux, ...
... achevant de détruire le fier chignon si strict qui lui donnait un air de supériorité qu’elle affectait au plus haut point. Il la força ainsi à une pipe monumentale. Un cocktail de salive et de sperme ruisselait le long du menton. On n’entendit plus que les sons étouffés qu’elle produisait et les injures incessantes de Jules. Il demanda s’il y avait encore quelqu’un pour une double. Mais non. Tout le monde bandait mou. De plus, après le plaisir, l’excitation diminuait ne laissant place qu’à la fatigue et à l’envie que, finalement, tout cela s’achève vite et qu’on aille se coucher.. Alors il se finit là où il était. Mais il fut long encore. La pauvre fille était comme une poupée de chiffon. Complètement inerte, les bras le long du corps, elle laissait sa tête à la disposition de Jules qui jouait avec comme si c’était un fleshjack, dans lequel il éjacula provoquant un haut-le-cœur. Elle recracha tout le sperme et se releva. Que restait-il de la femme élégante et stricte, sévère, dominatrice et autoritaire ? Les cheveux en pagaille, le maquillage qui avait coulé, du sperme mi-sec mi-humide sur la face et le corps, les cuisses et les fesses rouges, elle titubait comme prise par l’ivresse. Elle chercha des fringues pour se couvrir. - Que le haut ! Tu restes la chatte à l’air, on rentre comme ça ! Elle ne dit rien, prit un t-shirt qui traînait, trop étroit, qui moula sa forte poitrine. Jules nous remercia et nous pria de revenir quand on voudrait. - Sérieux, trop bonne votre pute là. ...