Fiasco à Divonne-les-Bains...
Datte: 26/11/2018,
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... Frotte-moi le dos, j’ai pas chaud, demande-t-elle. Comment refuser pareil service en de telles circonstances ? Et doucement, je lui frotte le dos, entre les omoplates jusqu’aux reins. Sa peau est douce, tendre, élastique, fine. Ma main se fait de plus en plus tendre et d’un frottement, je passe à une caresse le long de la colonne vertébrale, m’égare vers les flancs. Elle écarte un peu les bras et mes doigts rencontrent la naissance des seins, remontent par-dessous. J’apprécie leur douceur, cette peau fine qui les enveloppe. Mes doigts explorent les mamelons qui réagissent rapidement. Ils se fripent, durcissent et font sortir leurs pointes. Mes doigts et mes mains pressent ses seins. Je les malaxe, les triture, les empaume. Je les tire pour les porter vers mes lèvres, les agace avec elles. J’entrouvre la bouche et peux les mordiller, tendrement. Sous mes dents, les tétons durcissent, prennent du volume, s’excitent. Et Annette, aux soupirs qu’elle émet, me prouve que ce traitement la réchauffe et… l’échauffe. Ma main, descend vers le ventre, qu’elle creuse à mon passage, laissant libre le chemin entre l’élastique de son slip et la peau du ventre. J’atteins le mont de Vénus, rendu volontairement imberbe. Le contact est satiné. Mes doigts glissent vers les premiers plis de son intimité, les écarte pour trouver le clitoris. Son petit bouton est déjà tendu hors de son enveloppe et tressaute au premier contact de mon doigt. Lubrifiée, lisse, chaude, la petite excroissance quémande ...
... les caresses. Je m’y attarde longuement, déclenchant de longs gémissements de la part de sa propriétaire, qui ouvre ses jambes pour m’inciter à aller plus bas encore. Et mes doigts écartent ses lèvres grasses et moelleuses, humides de plaisir, puis l’envahissent et pénètrent dans son antre chaud. Sous cette première pénétration, son corps s’arc-boute. Ses reins se creusent, ses jambes s’écartent et se tendent. Sa respiration devient ahanante. Ses mains, nerveusement, se referment sur mon slip, où mon pénis s’est durci et marque sa forme, proéminente et totalement suggestive. J’entame un lent va-et-vient avec mes doigts trempés de son plaisir. Je cherche à lui procurer un maximum d’excitation. Sa main, crispée sur mon sexe, par petites pressions plus ou moins fortes, entame une forme de masturbation qui augmente mon désir de ce corps alangui entre mes bras. Et j’accélère le va-et-vient de ma main, jusqu’à ce qu’Annette pousse de longs et profonds soupirs et bloque ma main entre ses cuisses, me signifiant ainsi qu’elle vient de jouir. Tout en reprenant son souffle, elle ne me lâche pas. Au contraire, ses doigts ont défait mon sexe de son enveloppe de tissu et elle me caresse ostensiblement. — Ben dis, tu bandes fort ! Hein… Cette fois, je suis bien décidé à effacer toutes les avanies que j’ai pu subir ces derniers temps. La pauvre petite Suissesse va savoir ce que vaut un Français excité et frustré par toutes sortes d’aventures que je lui tais ! Je l’allonge sur le canapé et me ...