1. L'autre


    Datte: 28/11/2018, Catégories: fh, frousses, extracon, cocus, cérébral, revede, Oral init, ecriv_f,

    ... comme pour lui laisser le temps de protester, il la débarrassa de sa culotte. Elle était à la fois tendue et offerte. Enfin il se leva et passa la main dans ses cheveux pour en déloger les épingles. Alors, elle comprit. Gwenn n’était pas venue. N’importe quelle femme bafouée aurait tenté de troubler la fête. Elle, elle l’aurait fait. Son absence ne voulait dire qu’une chose : que Jean-Claude n’avait pas rompu. Par la suite, elle avait tourné et retourné le problème dans sa tête, et était parvenue à une conclusion simple : Gwenn était simplement déjà mariée. Ce qui permettait à Jean-Claude de l’obtenir elle, en l’épousant, tout en gardant l’autre, qui ne pouvait s’opposer à ce qu’il fonde une famille de son côté. Mais, le jour de son mariage, elle ne pensa qu’à une chose : prouver à Jean-Claude qu’elle avait sa propre valeur. Elle commença à poser les lèvres sur son cou, puis parcourut celui-ci de baisers appuyés et langoureux. Surpris, Jean-Claude se laissa faire. Jamais Béatrice ne s’était montrée entreprenante. Elle répondait aux caresses, aux baisers. Mais là, elle provoquait les caresses, elle dispensait les baisers. Il se retrouva bientôt nu. La tête lui tournait, il ne saurait dire si c’était l’excitation ou le champagne. Béatrice lui léchait le torse avec application. Il la prit aux hanches et la fit basculer avec lui sur le lit. Son ivresse ne fit que croître devant le trésor qui gisait entre les jambes ouvertes de sa femme. Il voulait voir, toucher, sentir. ...
    ... Béatrice, sentant confusément qu’il se passait quelque chose, avait ralenti ses caresses. Elle l’encouragea d’un clignement d’yeux, et il se pencha sur la fente rose. Le contact de son doigt, froid, fit frissonner Béatrice. Alors qu’il suspendait son geste, elle dit, dans un souffle : — Non, continue… Il reposa son doigt sur le pertuis entrebâillé, caressa, ou plutôt effleura la ligne sombre qui s’ouvrait lentement sous ses allers et venues. La main de Béatrice courait sur son dos, ses fesses. Il approcha encore pour mieux respirer l’odeur marine. Il n’osa pas s’approcher d’avantage. Elle bascula son bassin vers l’avant, il put plonger le regard vers l’entrée interdite. Sa femme s’était légèrement relevée sur les coudes. Elle le voyait agenouillé, penché sur son petit chat. Elle voyait le sexe dressé, épais, le blanc nacré de la verge faisant ressortir le rouge violacé du gland. Elle eut un frisson en pensant que cet objet aller pénétrer entre ses jambes. Gwenn se penchait à côté de Jean-Claude. Elle tendait la main vers les couilles rondes de son amant. Elle jouait avec elles, avec lenteur, observant les mouvements de la peau se plissant et se déplissant. Le jeune marié continuait d’insinuer ses doigts parmi les replis du sexe de sa femme, provoquant ainsi une excitation grandissante. La garce rousse se pencha ensuite, bouche ouverte et gourmande, prête à happer le fruit gonflé de sève. Hâtivement, Béatrice tendit le bras pour l’en empêcher. Elle ne rencontra que le vide. Se ...
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