1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1006)


    Datte: 29/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°995) - J’espérais seulement qu’Il me permettrait de le faire rapidement… Le dimanche après-midi, je quittais l'aéroport après avoir vu l'avion qui emportait mes filles décoller. Je pris la voiture avec une pointe d'appréhension. Le Maître n'avait pas dit précisément quand est-ce que ma sanction se terminait, et je ne savais pas ce qui m'attendrait en arrivant au Château. Sur la route, je reçus un texto. Je pris le temps de me garer avant de l'ouvrir, le cœur battant à l'idée que ce pourrait être le Châtelain qui m'écrivait. Je fus déçue en voyant le nom de Walter s'afficher. Ma sanction n'était donc pas terminée. Le message m'indiquait de garer la voiture devant le perron lorsque j'arriverai, de me dévêtir à l'extérieur de celle-ci, et de regagner à quatre pattes mon cachot dont la porte serait ouverte. Je devais ensuite attacher la chaîne à mon collier, prendre la position d'attente qui allait bien, et attendre, justement, que l'on me donne de nouvelles consignes. Je repris donc la route, le cœur lourd. Je ne prenais pas le temps de me demander qu'est-ce que j'allais attendre dans mon Cachot, je préférais me concentrer sur la route pour pouvoir parvenir à destination sans encombre. Je portais un pull léger sans manche, mais à col roulé qui cachait mon collier et ma laisse enroulée autour de mon cou. Quand j'arrivais, je descendais sans attendre, et me déshabillais entièrement avant de dérouler la ...
    ... laisse. Je ne prenais aucune affaire dans la voiture, je n'en avais pas besoin et je savais que tout serait récupéré pour que rien ne soit égaré ou abîmé. Je me mis alors en quadrupédie, je saisis ma laisse dans ma gueule de petite chienne pour ne pas trébucher en marchant dessus, et je pris le chemin pour descendre dans les Cachots. J'allais aussi vite que les nombreux et étroits escaliers de pierre en colimaçon me le permettaient. Il n'aurait pas fallu que je me blesse en glissant et les dévalant d'une manière plus douloureuse que le quatre pattes. Toutes les cellules étaient vides, la journée étant loin d'être finie. Je me dirigeais vers la mienne, dont la porte était effectivement ouverte. Je déroulais la chaîne qui était accrochée au mur et j’accrochais son mousqueton à l'anneau de mon collier. Puis je m'installais au sol à même la dalle froide et dure, relevant bien mon cul, étendant autant que possible mes bras en avant, présentant bien offerts mes orifices à qui se présenterait à la porte. J'attendis un temps qui me sembla très long, mais peut-être était-ce seulement dû à mon envie d'être pardonnée au plus vite et de réintégrer au plus vite la vie normale d'une soumise MDE. J'entendis des pas dans le couloir, des chaussures claquaient sur le vieux marbre froid qui le recouvrait. Mon cœur s'accéléra. Qui que ce fut, ce qui allait arriver ne pouvait que me mener jusqu'au pardon du Maître. Une main s'abattit sur mon derrière bombé par la position, que je reconnus comme étant ...
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