1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1006)


    Datte: 29/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... celle du Majordome. Une volée de fessées tomba, rougissant et chauffant ma peau de belle manière. Quand il fut fatigué, à moins qu'il n'ait défini à l'avance d'un très grand nombre de claques, Walter me banda les yeux, me détacha, et me guida doucement, surtout dans les escaliers, étant privée de la vue. La balade à travers le Château fut longue. J'étais incapable de savoir où je me trouvais car on montait des marches, on en descendait, ont traversait des longs couloirs me semblait-t-il. Il y a même un moment où nous nous sommes retrouvés à l'extérieur, où je dus d'ailleurs me soulager la vessie en quadrupédie, levant la jambe arrière, ce qui me fit le plus grand bien, il fallait bien l'avouer. J'entendis une porte s'ouvrir et nous entrâmes dans une pièce. À la résonnance des chaussures du Majordome, je supposais que la pièce était plutôt petite. Cela me semblait étrange, toutes les pièces que je connaissais, en dehors du bureau que le Maître voulait bien me laisser occuper pour travailler à Ses côtés en tant que secrétaire particulière, étaient vastes. Et je ne pensais pas, du peu que j'avais pu m'orienter en étant aveugle, avoir atteint cette pièce dans ce Château où je passais une bonne partie de mes semaines. Sa voix m'ordonna de me mettre à genoux, mains sur la tête d'abord. Il me bondagea les seins, les faisant paraître plus volumineux… Puis il m'attacha avec la même corde les mains dans le dos. Toujours les yeux bandés, il m'aida à monter sur un tabouret bas, et ...
    ... m'aida à enjamber une planche. Puis il exigea que je m'asseye sur la planche qui était suspendue par des chaînes, sur la tranche. Walter m'écarta les lèvres. Cela commençait à vouloir être douloureux, donc je ne m'asseyais pas franchement. Alors le Majordome enleva les tabourets sur lesquels reposaient mes pieds, et je ne pus que me mettre sur la pointe des pieds pour éviter de ne trop "m'empaler". J'essayais de trouver une position où j'arrivai sans trop de mal à garder un équilibre. Pour "m'aider" dans ma tâche, Walter m'installa une pince à chaque téton et à chaque lèvre intime, puis il accrocha un poids à chacune. Et puis il n'y eut plus un bruit. Je restais ainsi un bon quart d'heure, autant que je pouvais en juger. Pendant ce temps, outre le fait d'essayer de rendre ma position la moins douloureuse possible (douleur qui malgré tout m'excitait car je sentais bien que j'étais largement humide!), je réfléchissais encore une fois à ma condition. Pourrais-je désormais vivre autrement? Pourrais-je retourner à une vie purement vanille? Non c'était impossible! Je n'étais pas là pour vivre un simple jeu sexuel. Ce monde représente tellement plus que ceux vivant dans l'autre monde veulent bien le penser! Non, ce n'était pas un jeu, c'était ma nature profonde. Et lorsque je reprenais une vie plus vanille, lorsque j'avais la garde de mes filles, et que je lisais des articles sur le BDSM dans des revues grand public, j'étais horrifiée de voir comment tout était mélangé, comme notre mode ...
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