La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1006)
Datte: 29/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ! Le Maître me garda contre Lui le temps que je redescende réellement sur terre. Mais alors, j'éclatais en sanglots. L'émotion de me retrouver de nouveau entre les mains du Châtelain, pardonnée, ce que je venais de vivre, tellement intense, à avoir l'impression que mon esprit avait quitté mon corps au moment de lâcher mon orgasme, tout cela avait besoin de s'évacuer et c'est par les larmes que cela se fit. Alors qu’elles commençaient à se tarir, Il commença à défaire mes liens, puis Il finit par m’enlever le bandeau. Je papillonnais des yeux avant de les ouvrir franchement, prenant le temps de les habituer à revoir la lumière. Je jetais un coup d’œil rapide à la pièce qui était effectivement assez petite, neuf mètres carré peut-être. Puis je rebaissais immédiatement les yeux pour ne pas risquer de les poser sur le Maître plus de temps qu’autorisé. - Tu imagines tout ce que tu aurais pu vivre lors de ton absence du Château, si tu avais pu vivre tout ce que j'avais prévu pour toi ? Tout ceci ne doit pas t'empêcher d'implorer mon pardon. Alors maintenant que tu es calmée, je t'écoute ! Avec du mal, suite à la fatigue induite par les dernières émotions vécues, je me prosternais à Ses pieds, mes doigts, étendus au maximum, à quelques millimètres de Ses chaussures. Je Lui présentais alors mes humbles excuses pour ne pas avoir su tenir ma langue et pour avoir oublié de porter mes accessoires une fois mes filles couchées, et promettais de tout faire pour ne plus le décevoir et ...
... surtout pas avec des erreurs de débutantes. - Bien ! Tu es pardonnée, mais fais attention, de telles erreurs une prochaine fois te coûteraient bien plus cher que trois jours sans nouvelles et l’obligation de porter en permanence laisse et collier. Je vais te conduire jusqu’aux cuisines. Marie a toujours besoin de papattes pour aider à préparer les repas ou pour nettoyer. Je Le suivais de près, mais je me sentais encore faible du moment que nous venions de passer. Plusieurs fois, je trébuchais. Le Maître ne disait rien, faisait mine de rien, pourtant il me semblait qu’Il avançait plus doucement que d’habitude. Nous arrivâmes au bout de quelques minutes dans le domaine de la cuisinière. - Tiens Marie, je t’amène comme prévue cette petite chienne. Je compte sur toi, tu fais comme nous en avons convenu tout à l’heure. - Bien sûr, Monsieur le Marquis ! Elle sera traitée comme il se doit ! Et d’un sourire entendu, le Châtelain quitta les lieux, me laissant seule avec la perverse Maîtresse de cette partie du Château. - Allez viens la chienne ! Tu me suis au pied, j’ai un plateau à porter je ne peux pas te mener en laisse. Effectivement elle s’approcha d’un buffet, prit un plateau dessus et quitta la grande cuisine pour se diriger vers le cellier, plus frais. La température plus basse que la pièce principale, chauffée par les différents fours, me fit du bien. Marie, après m’avoir ordonnée d’attendre à la porte, posa le plateau au sol à l’autre bout de la pièce. Je n’osais pas lever la ...