La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1006)
Datte: 29/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... de vie était, quelque part, ridiculisé, et ramené à un basique jeu de rôle ! Jamais ces personnes-là, parlant d'un sujet qu'ils ne connaissent pas le moins du monde, ne saurait ce qu'une relation D/s pouvait amener, comment cela pouvait être fort et intense ! Jamais ils ne comprendraient le bien-être et la sérénité qui pouvaient nous envahir lorsque qu'on pouvait se remettre en toute confiance entre les mains d'une personne à qui on donnait sa vie les yeux fermés! Jamais ils ne pourraient comprendre ce qu'était le vrai don de soi, ce que c'était de réellement accepter tout état de choses. Quand je pensais qu'il devait y avoir un certains nombres de personnes n'osant pas vivre leur nature profonde parce qu'ils n'osaient pas rompre les codes de la société qui cherche à nous inculquer depuis notre plus jeune âge ce qui est sensé être normal, je me sentais triste pour eux, et tellement chanceuse d'avoir osé pousser les portes de ce monde, et d'avoir pu être acceptée aux pieds de Monsieur le Marquis d'Evans. Ici, j'avais enfin pu trouver ce qu'était le vrai bonheur, la tranquillité d'esprit et le profond bien-être d'être tout simplement, sans artifice. À réfléchir ainsi, le temps passa relativement vite. J'étais tellement perdue dans mes pensées, que je n'avais pas entendu que quelqu'un s'était approché de moi. Ce n'est que quand je sentis deux mains m'enserrer le visage et une bouche se plaquer sur la mienne que je le sus. Et je reconnus immédiatement ces lèvres. C'était celles ...
... du Maître Vénéré ! Je reconnaissais Son odeur, Sa façon de me toucher... Il me souleva de ce "woodenpony" et sans m'enlever mes liens, Il m'allongea au sol. Cela fit s'agiter les poids au bout de mes pinces, et la douleur se réveilla d'un coup. Il se remit à m'embrasser, profondément, longuement. Il possédait ma bouche de Sa langue. Ses mains se firent possessives sur mon corps, empoignant et malaxant mes seins, puis elles descendirent vers ma chatte, des doigts se frayant un chemin entre les pinces, titillant mon clitoris, le pinçant, le tirant, avant de plonger dans ma caverne humide, tandis que d'autres se faufilaient plutôt vers l'arrière et mon entrée secrète, y rentrant un par un. Ses caresses semblaient anesthésier la douleur des pinces sur ma chair sensible. Et alors que j'avais quatre doigts dans mon fondement et que j'étais littéralement trempée, le Maître enleva vivement une première pince, en criant laconiquement : - Jouis! Cette autorisation à jouir, cet ordre pour être plus exact était plus que le bienvenu car cela me fit complètement décoller par ce mélange de douleurs et d’excitations dans un orgasme d'une puissance que je n'avais jamais connu ! Il me laissa redescendre un peu sur terre, puis m'enleva la seconde en m'ordonnant encore la jouissance tout aussi laconiquement, puis sans répit ôta les deux dernières. La douleur était intense, explosive même. Mais le deuxième orgasme se prolongea ce qui me sembla être une éternité de mille plaisirs à n’en plus finir ...