La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1006)
Datte: 29/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... tête, mais j’étais étonnée. - Mange, tu as besoin de forces ! Dépêche-toi, et ne fais pas de saletés ! Je m’approchais du plateau jusqu’à ce que je puisse distinguer que dessus, il y avait une gamelle d’une bouillie épaisse et nourrissante, une assiette avec des pommes et des bananes coupées en morceaux, et une gamelle d’eau claire. Je m’aplatissais au sol pour lui montrer ma reconnaissance, rampais jusqu’au plateau, avant de me redresser en position prosternée pour avaler avec bonheur tout ce qui se trouvait dessus. Quand j’eus fini, je me mis en position d’attente, juste à côté et j’attendis. La fatigue commença à se faire sentir, et cela aidant, je finis par ressentir le froid en moi. Et alors que je commençais à me mettre à trembler, Marie revint, et avec une douceur qui me semblait inhabituelle venant de sa part, elle saisit ma laisse et m’entraina dans la cuisine, vers un grand feu de cheminée devant lequel se trouvait une chaise. Elle s’assit dessus, les jambes largement écartées et elle releva sa jupe. D’un seul regard, sans qu’un mot n’ait eu besoin d’être prononcé, je compris ce qu’elle attendait de moi, et je vins me placer entre ses cuisses. Je vins caresser doucement son petit bouton de chair palpitant du bout de ma langue, faisant des cercles autour, avant de le sucer, de l’aspirer et de le mordiller. Puis j’introduisis ma langue délicatement entre ses lèvres intimes déjà suintantes. Je la léchais avec application et motivation malgré ma fatigue. Et bientôt la ...
... cuisinière saisit ma tête entre ses mains pour la faire aller et venir à sa convenance sur son sexe poisseux de désir et ne tarda pas à m’abreuver de sa jouissance. Elle se releva alors, s’essuya avec mes cheveux et me repoussa avec force, me faisant perdre l’équilibre. Mais je me rattrapais assez facilement et me prosternais en attendant de nouveaux ordres. Ceux-ci ne tardèrent pas à venir. Je dus finir de couper des légumes pour le repas du soir, et lorsque celui-ci commença d’être servi, je fus affectée à la plonge. Je fus, une fois cette corvée terminée, emmenée avec mes frères et sœurs de soumission pour une petite balade à l’extérieur, afin que les chiens que nous étions puissent se vider la vessie et ainsi ne pas craindre de faire des saletés durant la nuit… Le lundi arriva vite après une bonne nuit reposante dans mon Cachot, où je dormis si sereine d’être de retour à ma place. Une réunion de travail eut lieu avec Monsieur le Marquis, les ouvriers qui allaient commencer le chantier, les maîtres d’œuvres des différents corps de métier qui allaient devoir y intervenir et moi-même. Tout le monde était encore ignorant de ce à quoi servirait cette nouvelle aile du Château, mais tous savaient ce qu’ils avaient à faire. Pour cette réunion, j’avais été autorisée à porter un tailleur-jupe, sans sous-vêtements, très échancré, car il s’agissait d’une réunion professionnelle, et si les maîtres d’œuvres, rencontrés lors de la toute première réunion concernant ce projet, étaient tous ...