la nuit infernale (1)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Pour comprendre le récit de cette soirée, et comment j’en suis arrivée là, je dois revenir en arrière. Il y a quelques mois, j’ai fait la connaissance d’une femme, un peu plus âgée que moi. Très belle. Rapidement, elle m’a proposée de faire l’amour, et elle avait le don de me faire jouir. Difficile à expliquer. Très vite, je me suis aperçue que c’était une dominatrice. Je n’étais pas portée sur la soumission, mais les choses ont évolué de façon progressive. Elle a commencé par exiger que je m’exhibe en suivant ses instructions (pour ça, elle n’a pas eu trop de mal à me convaincre!). Puis elle m’envoyait des SMS au travail, m’ordonnant par exemple de me faire jouir en pensant à elle. Ensuite, c’est devenu plus orienté SM soft. Des pinces à seins, des fessées, du bondage. Pour en arriver au fouet. Je ne l’aurais jamais imaginé, mais la douleur m’excitait et rendait mes orgasmes encore plus forts. Et un jour où Carine – ma meilleure amie et la complice de beaucoup de mes frasques sexuelles – était chez moi, elle a aperçu le fouet que nous avions utilisé la veille, et que j’avais oublié de ranger. Elle m’a posé plein de questions, et j’ai fini par lui raconter que j’acceptais d’être soumise par une femme. Carine m’a avoué qu’elle avait, elle aussi, pris goût à la soumission, et qu’elle avait poussé les choses très loin, il y a près d’un an. Elle ne m’en avait jamais parlé car, comme moi, elle avait trop honte! Elle avait reçu un jour un appel téléphonique d’une femme, Faustine, ...
... qui s’est présentée comme une relation de Sandra, une copine de Carine. Faustine voulait proposer à Carine de participer à une soirée "très particulière", qui serait organisée en son honneur, dans une propriété en bordure de Loire. Elle ne lui a pas caché que cette soirée aurait un caractère très... sexuel. Carine s’est d’abord méfiée, mais la femme a su à la fois exciter sa curiosité, et endormir sa méfiance. Une date a été fixée, et le soir, vers 23h, une limousine est venue chercher Carine chez elle. Le chauffeur lui a remis une tenue qu’elle devait revêtir, puis il l’a fait monter dans la voiture, lui a bandé les yeux, et l’a conduite dans une superbe propriété. Carine n’a pas voulu me raconter dans le détail ce qu’elle avait subi. Elle m’a juste dit qu’elle avait été le jouet sexuel d’hommes et de femmes, qu’on lui avait demandé de les sucer et de les lécher, qu’elle avait été baisée, enculée, dans toutes les positions, sans qu’on lui demande son avis, ligotée, humiliée. On l’avait traitée "pire que la dernière des putes". Elle avait eu peur, elle avait supplié, pleuré... mais elle avait joui. Comme jamais auparavant. Lorsqu’on l’a laissée partir, au petit matin, Faustine lui a remis une carte, avec son numéro de portable. "Au cas où elle aurait envie de renouveler cette expérience..." Carine est rentrée chez elle. Elle a passé la journée dans son lit, secouée par les sanglots, morte de honte, incapable d’en parler, même à moi. Les jours suivants, elle s’est sentie très ...