la nuit infernale (1)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... mal, doutant d’elle-même, s’interrogeant sur sa normalité. Puis la vie a repris son cours, mais elle n’arrivait pas à sortir les événements de cette soirée de sa tête. Au bout d’un mois, elle a ressenti l’envie de revivre une telle situation, et le plaisir trouble qu’elle avait ressenti. Elle a d’abord refoulé cette envie. Puis elle a cherché tous les arguments rationnels pour résister. En vain. Elle n’avait pas réussi à jouir aussi fort avec ses partenaires depuis cette soirée. Deux mois après, Carine a craqué. Elle a cherché la carte de Faustine, et l’a rappelée... Elle est retournée un soir dans la propriété du bord de Loire. Pour une nouvelle soirée de soumission. Et elle a retrouvé ces orgasmes inavouables. Revenue chez elle, elle a eu honte d’elle, encore une fois. Elle s’est jurée de ne jamais rappeler Faustine. Mais quinze jours après, elle craquait de nouveau. Depuis, elle refuse de tomber dans une sorte de dépendance, mais de temps en temps... J’avais écoué Carine, médusée. Avant de partir, Carine m’a annoncé qu’elle communiquerait mon numéro de téléphone à cette Faustine. C’est elle qui déciderait de me proposer - ou pas - de m’inviter à une soirée "d’initiation". J’ai protesté, jurant que je n’irai jamais. Mais Carine m’a répondu: — il ne faut jamais dire "jamais"! __________________ Suite à ma conversation avec Carine, j’étais vraiment inquiète, prête à refuser l’invitation si cette « Faustine » m’appelait. J’avais confié mes craintes à ma copine, et elle ...
... m’avait (un peu) rassurée. D’après elle, ceux qui organisent ces soirées savent très bien jusqu’où ils peuvent aller. Elle y est retournée plusieurs fois, depuis ce qu’elle appelle son "initiation". Et elle ne serait pas la seule dans ce cas. Faustine serait très sélective, quant au choix des invitées, et à leur capacité à vivre une telle expérience. Quant aux autres membres du groupe, ils font attention à faire la distinction, entre les réactions de peur des filles qu’ils soumettent, et un véritable refus. D’ailleurs, a renchéri Carine, si ce n’était pas le cas, ils auraient déjà été poursuivis pour viol. De toute façon, Carine m’a bien confirmé qu’elle avait parlé de moi à Faustine, et qu’elle lui avait donné mon numéro de portable, mais elle ne savait pas si je serais contactée, les personnes qui "parrainent" une jeune femme n’étant jamais informées de la décision du groupe. Ne recevant aucun appel de Faustine, j’avais commencé à oublier cette histoire. ____________________ Et puis, quelques jours plus tard, mon téléphone a sonné. Appel masqué. Je décroche, et mon coeur fait un saut dans ma poitrine, quand j’entends une voix féminine, grave : — Allo. Vous êtes bien mademoiselle Chloé G…. ? — Euh… Oui. Qui êtes-vous ? — Je me prénomme Faustine. Votre amie Carine vous a parlé de nous, et elle m’a communiqué votre numéro de portable. Ma bouche est sèche. Je me mets à trembler. Je suis incapable de répondre quoi que ce soit, et Faustine continue. — Nous vous avons choisie pour vous ...