la nuit infernale (1)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... hommes sont comme lui, dans cette soirée… Il tient une housse et deux sacs. Je l’accueille avec un sourire un peu forcé et je le fais entrer. Impassible, il me tend la housse et l’un des sacs : — Les vêtements et les chaussures que vous devez revêtir pour cette soirée. Vous ne pouvez mettre rien d’autre, pas de sous-vêtements, pas de bijoux. Vous pouvez vous isoler pour vous changer, et j’installerai ensuite quelques accessoires. Le ton est autoritaire, et me donne un avant-goût de l’ambiance de cette nuit. Je vais dans ma chambre, j’enlève mon peignoir, et j’ouvre la housse : elle contient une minirobe noire. Je m’attendais à quelque chose de sexy, mais là… Incrédule, je l’enfile et je me regarde devant la glace… Le décolleté est si profond qu’il laisse mes petits seins entièrement nus. La robe est ouverte sur les deux côtés, jusqu’à ma taille, et l’ourlet se situe juste sous ma chatte et mes fesses. Il suffit de soulever légèrement un pan pour… Dans le sac, je trouve une paire de chaussures à lanières, noire et rouge. Je n’avais jamais vu de talons aussi hauts. Mes pieds, quasiment à la verticale, reposent sur des patins, qui me grandissent encore. Pour me déplacer, je suis contrainte de faire de petits pas, qui me donnent une démarche inhabituelle, et très sexy. Je me regarde de nouveau dans la glace. Je suis un appel au viol… Mais je ne peux plus reculer. Je sors de ma chambre, et le chauffeur ouvre le deuxième sac. Il en sort des petites pinces, reliées par une ...
... chaînette. — Faites pointer vos seins, m’ordonne-t-il. Je lui obéis. Je n’ai aucun mal à faire saillir mes tétons, car je suis déjà bien excitée, malgré mon appréhension. Il prend l’aréole de mon sein gauche entre ses doigts, serre fort, et je sens la morsure de la pince. Plus forte qu’avec mes pinces à dessin ! Puis c’est le tour de mon sein droit. Ensuite, il sort du sac un large collier de cuir, muni d’un gros anneau, le fixe autour de mon cou, et enfin quatre bracelets assortis au collier, un pour chacun de mes poignets et pour chacune de mes chevilles. J’imagine à quoi tout cela va servir, et un frisson parcourt mon échine. Je jette un dernier coup d’œil à mon reflet dans le miroir de la penderie, et je prends mon manteau d’été. Nous descendons l’escalier sans croiser personne (heureusement) et le chauffeur m’ouvre la porte arrière d’une superbe Mercédès noire. Quand j’ai bouclé ma ceinture, il sort un bandeau noir qu’il noue autour de ma tête, monte à son tour, et démarre. Il ne prononce pas un mot, pendant tout le trajet, qui me semble long, mais je ne peux pas voir l’heure, et je n’ai aucun point de repère. Enfin, je réalise que la voiture s’arrête, et qu’on ouvre ma portière. Le chauffeur me prend par le bras, fermement, mais sans brutalité, il m’aide à sortir, et m’enlève mon bandeau. Je suis devant une magnifique propriété, en pierre, dans le genre manoir. — Laissez votre manteau dans la voiture, vous le récupérerez au retour, demain matin, me dit-il. Je sens l’air frais de ...