la nuit infernale (1)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... bites sont à la hauteur de mon visage, et je devine ce qu’ils attendent de moi. Des larmes coulent sur mes joues, mais je suis incapable d’opposer la moindre résistance, quand Benjamin, le premier, enfonce sa verge dans ma bouche. Le gland turgescent passe difficilement entre mes lèvres, et remplit ma bouche. Il s’enfonce malgré tout, jusqu’à buter au fond de ma gorge. Je n’arrive pas à réprimer un haut-le-cœur, mais ça ne l’empêche pas d’aller et venir comme si il était dans ma chatte. J’en viens à espérer qu’il éjacule vite, pour pouvoir reprendre ma respiration, mais c’est compter sans l’endurance de ces types. Il m’abandonne avant d’avoir joui, et Marc prend le relais. Lui veut que je le lèche et que je le suce, et je dois m’activer autour de son gland gonflé et de son interminable tige. Mes lèvres, ma langue… Je le sens palpiter sous mes caresses, et j’y trouve finalement du plaisir. Je coule encore. J’ai honte d’être encore et toujours une chienne en chaleur, une salope. A son tour, Frédéric exige de moi la même "prestation". J’ai l’impression d’être vraiment une pute, ou plutôt une esclave sexuelle. Lorsqu’ils m’abandonnent – pour quelques courts instants seulement – aucun n’a éjaculé. Ils se réservent pour la suite… Faustine me remet debout, et libère mes poignets. Pour mieux les attacher de nouveau aux cordes qui pendent des poutres. Cette fois, mes bras tendus sont écartés, soulevant ma poitrine toujours aussi dure et gonflée. Elle m’oblige aussi à écarter grand ...
... mes jambes tendues, et j’ai juste le temps de voir les voyeurs s’approcher, avant que mes yeux ne soient recouverts d’un bandeau. J’entends leurs rires et leurs commentaires, mais j’ai l’impression d’être dans du coton. Je devine que quelqu’un s’approche de moi. Un homme, si j’en juge par la force avec laquelle il me soulève, en écartant mes cuisses. Aussitôt, un gland gonflé se fraie un chemin entre mes petites lèvres. Il trouve ma fente trempée de désir, malgré tout ce que je viens de subir. Je devrais me révolter, mais je ne peux pas, et je gémis lorsque je me sens empalée par ce pieu, dur comme du bois. L’homme a agrippé mes fesses, et je me suspends par les bras, pour l’aider à aller et venir en moi. Il remplit mon minou. Profondément. Et je pousse un petit cri aigu, chaque fois que nos pubis se rejoignent. Je suis toute à la recherche de mon plaisir, quand j’entends la voix de Marc, tout près. — Si on s’occupait de ses seins, pendant que Frédéric la défonce ? Je suis sur qu’elle va jouir, cette salope. Il n’y a pas de réponse, mais soudain, je pousse une longue plainte : quelque chose pique mes seins, une multitude d’aiguilles. Ça se déplace. J’ai compris plus tard : il s’agit d’une roue à pics. Les pointes se déplacent sur ma poitrine, tournent autour des aréoles, remontent, reviennent sur mes tétons. C’est diabolique, à la fois un peu douloureux et très excitant. Et cette bite qui perfore ma chatte, comme un marteau piqueur !!! Un orgasme monte encore du fond de mon ...