la nuit infernale (1)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... la nuit sur mes seins nus. Le chauffeur accroche le mousqueton d’une laisse en cuir à l’anneau de mon collier, puis, avec une courte chaîne équipée d’autres mousquetons à chaque extrémité, il entrave mes poignets, dans mon dos. La peur renaît au creux de mon ventre, doublée de l’humiliation d’être présentée ainsi à mes hôtes. D’autant plus que le chauffeur, après avoir sonné, s’éclipse, et me laisse seule, debout, devant la la grande porte en chêne de la demeure, qui s’ouvre. Je me retrouve face à une grande femme blonde, dont le visage est en partie masquée par un loup. Son corps bronzé est magnifique. Ses seins sont soulevés (mais ils pourraient s’en passer) par une sorte de bustier redresse seins, qui laisse voir de petites aréoles claires et dressées. Elle porte une minijupe en cuir, aussi courte que ma robe, fendue sur un côté, et elle est juchée sur des bottines aux talons aussi hauts que les miens. — Chloé, me dit-elle sans le moindre sourire. Entrez, nous vous attendons… Suivez moi. Je me retrouve dans un grand vestibule, et je suis Faustine, qui me tient en laisse, tout au long d’un interminable couloir, à peine éclairé. J’ai du mal à la suivre, étant vraiment obligée de marcher à petits pas, pour que mes talons ne me fassent pas perdre l’équilibre. Elle pousse une lourde porte, et nous entrons dans une pièce immense. Seule une partie est éclairée. Contre le mur, trois hommes vêtus de noir sont assis devant une longue table. Ils portent tous des cagoules, qui cachent ...
... le haut de leur visage, avec deux trous pour leurs yeux. A chaque bout de la table, une femme est assise. Leur visage est masqué par des loups arachnéens, comparables à celui de Faustine. Elles portent des bodies en cuir, et j’aperçois leurs jambes, qui disparaissent dans des cuissardes à très hauts talons. Faustine saisit mes poignets entravés, pour me guider jusque devant la table, et avec la laisse, me fait marcher et tourner sur moi-même. Pendant un moment qui me semble interminable, les hommes et les femmes me regardent sans dire un mot, ils détaillent mon anatomie, et j’ai l’impression d’être un objet dans une vitrine. C’est humiliant et déstabilisant, mais la suite n’est guère mieux… — Ses nichons sont petits, mais ils ont l’air de bien se tenir, dit l’un d’eux, en se levant pour tester la fermeté de mes seins, qui pointent. Il accroche à la chaînette qui relie les pinces un poids, qui accentue la morsure sur mes tétons, et tire mes seins vers le bas. Mais malgré la douleur, mes seins pointent de plus belle. — Regardez, reprend-il, même avec des pinces, ses nichons ne pendent pas. — Oui, répond un autre, qui m’ordonne: tourne toi, montre ton cul – je soulève l’arrière de ma robe - … belle chute de reins, cambrée… Comme on les aime. Puis, en écartant mes fesses : et ce petit trou bien serré, ça va être un régal de le défoncer. Un homme resté assis (j’apprendrais un peu plus tard qu’il se prénomme Marc), qui semble diriger les événements, me fait faire encore demi-tour, ...