1. Vacances imprévues


    Datte: 01/12/2018, Catégories: fh, ffh, vacances, campagne, pénétratio,

    ... joie et rapidement connaît le plaisir. Dégageant son outil, il reprend son premier ouvrage. La fille vient chevaucher sa compagne. André en profite pour lui saisir les seins à pleine main sans interrompre sa danse. Il lui mordille le cou, elle tourne la tête et lui offre ses lèvres. Et le couple connaît un plaisir simultané. Leur invitée est heureuse d’assister à un tel bonheur conjugal. Ils se sont écroulés entremêlés. André réagit le premier, prend dans ses bras Bébé épuisée qui s’endort. Il la dépose dans sa chambre puis revient se reposer. Des bruits divers, un rayon de soleil, l’agréable sensation de délassement tirent Bébé de son sommeil. C’est de la cuisine que viennent les bruits, le soleil s’insinue par une fente du volet et surtout elle se sent en pleine forme. Ses pieds ne lui font plus mal, elle pourra supporter des baskets. Rabattant le drap, elle s’aperçoit qu’elle est nue. Lui reviennent à l’esprit les dernières péripéties, puis c’est le trou. Elle a bien senti qu’on la prenait et déposait ici, mais c’est vague. Elle se dirige vers la cuisine ou règne une bonne odeur. Véro est occupée à préparer un repas qui paraît succulent. — Bonjour, excuse-moi d’avoir tant tardé, mais j’étais tellement fatiguée !— Et puis nous avons eu une soirée un peu agitée, lui répond la cuisinière. Alors en forme, tu restes un peu avec nous ?— On est très bien ici, mais je dois rejoindre les copains qui sont au camping. Tu m’as dit qu’il n’y avait que deux heures de marche, je ...
    ... pourrais les faire en basket.— Comme tu veux, tu manges quand même avec nous, tu partiras après la sieste.— Eh bien volontiers, merci. Comme elles l’avaient décidé, Bérengère est partie après des au revoir chaleureux, promettant de repasser un jour. Ils lui ont expliqué le chemin à suivre, le sentier de grande randonnée est repéré à distance régulière par des marques de peinture. Deux heures de marche, ce n’est pas terrible, pense-t-elle. Mais j’en compte plutôt trois avec mes pieds endoloris. Les repères sont bien visibles et les débuts sont faciles. Mais au bout d’une heure, la douleur revient et l’allure se ralentit. Ses pieds lui brûlent, si seulement elle pouvait les baigner comme hier ! Elle travers un bois assez fourni, le chemin serpente le long de la pente, le soleil perce à travers les futaies. Justement un bruit de ruisseau se fait entendre en contre bas. Oh, cela va me faire perdre un moment, mais je vais me rafraîchir les pieds. Elle quitte le chemin, descend une pente assez raide. Elle dévale avec précaution, coupe un sentier, se retrouve au fond du vallon, près d’un ruisseau. L’eau tombe d’une hauteur d’un mètre environ dans un bassin, puis repart. L’endroit est calme, bordé d’herbe fraîche. Elle se déchausse, trempe ses pieds dans l’eau, s’allonge sur le dos les mains derrière la nuque. Elle reste quelques minutes à songer à ce qu’elle vient de vivre la nuit précédente. William n’en saura rien. Il faut repartir, les pieds reposés. La pente est assez dure, le sentier ...
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