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Un ascenseur nommé désir
Datte: 01/12/2018, Catégories: fh, inconnu, voisins, parking, ascenseur, volupté, fsoumise, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral préservati, pénétratio, jeu, sm, attache, humour,
... soie. Elle était belle partout ! J’étais joyeux du plaisir de la regarder : j’ai pris un peu de recul pour embrasser des yeux son corps tout entier. Il était ouvert de tous ses petits creux, de toutes les rondeurs charnues de ses épaules et de ses petits seins. De toutes les fines ombres qui surlignaient les contours saillants de son bassin et qui transformaient son ventre creusé et lisse en un écrin pour son nombril agité de petits soubresauts. La petite ligne sombre qui courait juste en dessous pointait comme un appel à baisser le regard. Elle lui faisait gravir son mont de Vénus à toison de satin noir pour finir par se perdre entre ses cuisses. Je me suis interrogé : laquelle de ses deux jambes fallait-il admirer en premier pour ne rien perdre de leur beauté ? J’ai fermé les yeux un instant, comme pour tirer à pile ou face et j’ai terminé ma promenade le long des lignes douces des muscles de sa cuisse et de son mollet droit. On aurait cru que sa beauté me remerciait en me caressant la tête tant je sentais des frissons me parcourir le crâne pendant que je l’admirais. Quand on prend vraiment le temps de regarder le corps d’une femme, on comprend pourquoi les Grecs n’ont pas fait des statues de salades mais des statues de femmes nues. Un détail m’agaçait : sa jupe qui séparait maladroitement son corps en deux au niveau de sa ceinture. Je l’ai dégrafée et j’ai été agréablement surpris du résultat : une fois étalé sous ses cuisses, le tissu lamé noir rehaussait la beauté de ...
... ses jambes. Il augmentait aussi l’effet pin-up des rubans de broderies qui marquaient la frontière entre le nylon nacré et la peau bronzée de ses cuisses. Cela rendait également encore plus désirable son abricot humide et brillant. Ses lèvres entrouvertes semblaient posées là juste pour embellir son entrejambe, juste pour donner envie de plonger en elle et de se régaler de la chaleur et des remous de son corps. Tina maintenant entière était tiède de toutes les ombres qui l’embellissaient, de tous mes regards qui glissaient sur sa peau comme autant de caresses. Mais elle me souriait d’un air interrogateur : elle devait se demander ce que j’attendais. Je lui ai répondu en suivant des yeux le revers de ma main qui glissait autour de ses seins : — Excuse-moi, mais j’étais en voyage. C’est long de parcourir des yeux tout ton corps : il y a tant à voir. Tu me laisseras prendre des photos la prochaine fois ? Comme ça j’aurais tout mon temps pour t’admirer après. Son sourire a fait apparaître de fines rides au coin de ses yeux. Ça les a fait rayonner d’une belle joie discrète. Comme s’ils n’étaient pas assez beaux sans cela… Elle commençait à m’agacer : ce n’est pas juste que les dieux aient mis autant de beauté chez elle et pas chez moi. En plus, elle avait eu le culot de se maquiller de façon si subtile que toutes les touches de couleurs dont elle avait rehaussé son visage semblaient naturelles et indispensables. Un peu comme si la Terre ne pouvait pas tourner sans cela. C’est ...