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Un ascenseur nommé désir
Datte: 01/12/2018, Catégories: fh, inconnu, voisins, parking, ascenseur, volupté, fsoumise, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral préservati, pénétratio, jeu, sm, attache, humour,
... dangereux, une beauté d’une telle arrogance : ça attire la colère des boudins. On dit que Dieu a fait l’homme à son image. Moi je suppose que c’est le diable qui a créé les femmes en premier. Et Dieu, dans son éternelle immodestie, n’a pas voulu s’abaisser à prendre des cours de dessin chez lui avant de nous caricaturer comme des babouins. Belzébuth, si c’est vraiment toi qui as créé la femme, il est injuste que ce soit pour Dieu qu’on ait bâti des cathédrales. J’ai convié mes deux mains à la fête : je me suis mis à masser et à caresser tout son corps. Je me régalais de ses moindres réactions de bien-être : ses épaules qui remuaient, ses seins qui roulaient, les petits mouvements de ses biceps qui se contractaient quand mes mains savaient s’occuper d’un point sensible de son corps. J’y passerais des heures, à arpenter son corps en lui demandant parfois mon chemin, celui qui mène à son plaisir : « C’est comment, là ? » « C’est bien ici ? » « Et ça ? C’est bon ? » C’est tellement beau, la peau d’une femme qui a du plaisir, que ça me monte toujours une gaule de première catégorie : y a rien de mieux pour aller à la pêche aux sensations. J’ai eu envie de l’embrasser au creux de ses aisselles lisses tout en cajolant ses épaules et ses bras prisonniers. En la léchant, j’ai remis mes doigts dans son sexe pour qu’elle profite avec moi de ses sensations humides. En plus, ça a ravivé nos excitations. Ses deux seins de sirène m’appelaient vers leurs pointes. Je les entendais me dire « ...
... Viens nous goûter aussi ». Ses mamelons érigés comme des récifs m’attiraient dangereusement. Je ne me suis pas senti me rapprocher d’eux tellement j’en avais envie. J’ai senti leur contact presque dur sur mes lèvres pendant que ma main libre glissait sous ses omoplates pour caresser son dos cambré jusqu’à ses fesses. Je les savourais. En embrassant l’un, je caressais l’autre et j’alternerais ces offrandes pour qu’aucun d’eux ne soit jaloux de l’autre. J’ai posé le bout de mes ongles sous son sein et je les ai fait glisser sur sa peau en faisant le tour de ces douceurs de chair. Je ne la griffais pas : je voulais seulement qu’elle sente la trace délicieusement brûlante que provoque ce contact et qui finit en enveloppant tout le sein de myriades petits picotements chauds. Elle se cambrait de plus belle, abandonnée, la tête éperdument basculée en arrière et presque pendante en dehors du capot. Ses gémissements semblaient être l’écho impossible du crissement de mes ongles sur sa peau. Plus je goûtais ses mamelons et plus j’avais envie de leur goût, de leur pression sur mes lèvres, de leur frôlement sur mes dents. Je n’en pouvais plus de bander : j’ai enveloppé son sein de toute ma main pour l’emprisonner, j’ai pris son mamelon entre mes dents et je l’ai mordu. Si, si : je l’ai mordu. Mais probablement plus fort dans ma tête que dans sa chair. J’ai bien senti le combat des muscles de ma mâchoire : ceux que mes fantasmes contractaient pour la mordre et ceux que ma raison bandait ...