Un ascenseur nommé désir - Histoires de Sexe

Un ascenseur nommé désir

... crois toujours que c’est agréable à faire. Je lui ai demandé : — C’est bon comme ça ?— J’aime bien. Je me suis penché vers elle pour lui caresser les seins pendant qu’elle contemplait ma queue en la pressant doucement dans sa main, comme pour en apprécier la fermeté. Elle a repris : — J’aime bien et elle est belle aussi…— Ce n’est pourtant pas un modèle de concours.— J’en ai vu des plus laides. Je l’aime bien. Et puis, après ce que tu m’as fait avec… Elle a eu un rire un peu taquin. Je n’ai pas su si elle se moquait de moi ou des bêtises que lui suggéraient ses désirs. Elle a lâché ma verge. Mon sexe tendu semblait léviter. Elle le fixait avec envie, le frôlant par-dessous avec ses doigts écartés. Comme pour vérifier si je n’avais pas un truc de magicien pour le tenir presque à l’horizontale. J’avais effectivement un truc : son regard qui fixait mon gland m’allumait à fond. D’une main, elle a comprimé mon pubis, en enveloppant au plus près la base de mon sexe. De l’autre, elle a soupesé mes bourses. Comme si le poids de mon excitation pouvait les alourdir. Le contact de ma chair dans sa main semblait lui donner raison. Par contre, ma verge semblait s’alléger… En continuant à me caresser, elle s’est mise à me dire : — C’est marrant, quand je joue avec une bite, je regrette toujours de ne pas en avoir. Ça doit être sympa de pouvoir en branler une quand on veut.— Je pense que c’est encore plus sympa de pouvoir mettre ses doigts dans sa chatte quand on en a envie. De toute ...

... façon, c’est toujours ce qu’on a pas qui nous attire. C’est même comme ça que ça marche, l’amour et la pub.— Ah ! Oui : j’imagine le slogan :Les bites Rocco allégées à zéro pour cent sont bonnes pour votre santé. Tu ferais un malheur en tête de gondole au supermarché du coin. Tu aurais toutes les ménagères accrochées à tes cuisses pour avoir leur dose de produit minceur.— Si tu le souhaites, je peux être ton fournisseur régulier.— Pour l’instant, je préfère regarder la pub. Sans quitter mon sexe du regard, elle s’est mise à s’exciter : elle m’a lâché pour plonger une main entre ses cuisses. Avec l’autre, elle s’est emprisonné un sein pour jouer avec son mamelon en le roulant dans ses doigts. Le glissement du bout de sa langue sur ses lèvres les rendait brillantes et me donnait envie de lui offrir vraiment le spectacle qu’elle désirait. Je me suis masturbé lentement devant elle en espérant que c’était ce qu’elle attendait de moi. Elle m’a lancé d’un air provocant : — C’est ça, chauffe-nous un peu. Tu veux aussi jouer avec moi ? Prends ma tête, s’il te plaît. Elle m’a posé dans sa bouche et elle a fermé les yeux quand j’ai calé sa tête dans les paumes de mes mains. Je l’ai enveloppée comme si j’avais voulu la forcer à m’avaler. Mais je l’ai laissée faire tout ce qu’elle voulait. Je me suis efforcé à rester attentif à ses mouvements pour les amplifier. Je l’attirais vers moi quand je sentais qu’elle essayait de m’enfoncer un peu plus, jusqu’à sentir parfois mon gland se comprimer au ...