1. Première lune


    Datte: 08/08/2017, Catégories: fh, fplusag, extracon, copains, odeurs, Oral préservati, pénétratio, fsodo, init, inithf,

    ... coup d’œil l’étendue des dégâts ; c’était encore pire que ce que j’imaginais. Beaucoup trop visible. Je tournai vivement la tête vers Sandra. Trop tard. — Oh ! fit Sandra, le regard vissé à ma braguette impudiquement dressée vers le ciel. Trop tard trop tard trop tard. Envie de me réfugier sous la mer. Trop tard. Sandra pouffa. J’étais rouge de honte. Je bafouillai. — Désolé… L’instant d’après, une main d’une douceur infinie me caressait la joue. L’instant suivant, des lèvres charnues se posèrent sur les miennes. Et ma chemise fut tirée hors du pantalon. On caressait mon ventre à même la peau. Et déjà, je haletais. J’étais une pile atomique dont le réacteur incandescent se dilatait dans mon jean soudain trop étroit. Nos langues se faisaient la cour, se happaient, s’enroulaient. Mon premier baiser. J’avais lu dans un roman des années trente que les japonais répugnaient à embrasser leurs femmes, même dans les moments d’excitation sexuelle. Mon Dieu, comme je les plaignais ! Et ses doigts affamés flânaient sur mon maigre torse, y déclenchant des frissons électriques. Ma main droite quitta le dos de son tailleur pour se poser sur son sein, toujours à travers l’étoffe. Sandra gémit et m’embrassa de plus belle, s’efforçant maladroitement de déboutonner mon pantalon. Quand elle y parvint, mon caleçon contenait difficilement mon désir. Mais le caleçon fut baissé, lui aussi. Un sexe au bord de l’explosion en jaillit. Mon gland était humide. Sandra déposa un tendre baiser dans mon ...
    ... cou. Je ne sais pas si c’était l’adrénaline. Je ne sais pas si c’était l’amour. — C’est vrai que tu es très vigoureux ! murmura-t-elle, en caressant du bout des doigts l’énorme verge qui tressautait vers le ciel – ou vers les yeux de mon amante. Cette amante qui me glissait à l’oreille : — Ça me change de Jean-Claude… Pour ma part, j’étais bien trop tétanisé pour lui répondre. J’avais suffisamment à faire avec ma propre moralité pour m’inquiéter de celle de ma partenaire adultère. Toute mon attention était en outre mobilisée pour empêcher la catastrophe qui se profilait. J’avais même cessé de la peloter. Sandra dut sentir l’état avancé de mon excitation, car elle délaissa mon sexe et prit mon visage entre ses mains pour un nouveau baiser enflammé. — Détends-toi, Xavier. Je vais te faire du bien. Me détendre ? Elle en avait de bonnes. Puis, déboutonnant ma chemise : — Enlève ton pantalon. Et ton caleçon. Je m’exécutai de bonne grâce, et me retrouvai seulement vêtu de ma chemise ouverte. Mon sexe paraissait énorme. Alors Sandra s’agenouilla par terre, entre mes jambes. Bizarre sentiment d’irréalité. — J’adore tes couilles, fit-elle, un large sourire illuminant son beau visage, ses yeux verts étincelants plongés dans les miens. Elle les soupesa. Je les avais lourdes. Elle prit alors entre ses lèvres mon testicule gauche – le plus bas – et se mit à le taquiner du bout de la langue. Je manquai m’évanouir. Je m’en sortis par un long gémissement. — Hum… se pourlécha-t-elle. Qu’elle est ...
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