Première lune
Datte: 08/08/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
copains,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
init,
inithf,
... grande ! Je crois qu’elle parlait de ma queue, le long de laquelle sa langue remontait lentement, très lentement, s’attardant sur une veine, puis sur une autre, et, aidée de ses lèvres ourlées, suçotant la base de mon gland. C’en était trop. À mes tressautements et à mon souffle bruyant, Sandra comprit que j’allais jouir, mais plutôt que de s’écarter, elle se mit à couiner, m’empoigna fermement et poursuivit de plus belle ses suçotements à la base du gland. À peine le temps de lâcher un râle annonciateur, et déjà mon plaisir nous inondait en jets saccadés. En me branlant doucement, Sandra recueillit mon fluide avec bonté sur ses doigts bien vite englués, sur ses lèvres, sur sa joue, et jusque dans ses magnifiques cheveux d’un brun presque noir. Un petit rire joyeux accompagnait chacun de mes spasmes. Temps suspendu. *** Je devais avoir l’air hagard, le visage et le sexe écarlates, le souffle court, et ma blanche et abondante semence peignant les traits radieux de ma tendre initiatrice. Il y en avait même sur son tailleur. J’avais honte de m’être ainsi laissé aller, de n’avoir pu maîtriser mon plaisir. — Désolé, je… Mais elle me coupa aussitôt, les doigts tendus vers moi (son autre main enserrait encore mon sexe, qui ne débandait pas vraiment). — Chut ! Ce n’est rien. Je trouve ça très beau, tu sais ?— Vraiment ?— Mais oui ! C’est attendrissant, un homme qui jouit d’émotion. C’est normal, pour une première fois. Même à ton âge. Surtout à ton âge. Et puis, nous avons tout ...
... notre temps… Pas de doute, cette fille était une perle. Même constellée de sperme, elle réussissait à me mettre à l’aise – ce qui n’était pas un mince exploit. Je lui rendis son sourire. *** Après quelques instants de grâce, Sandra revint s’asseoir à mon côté. Quand elle s’approcha pour m’embrasser, j’encaissai de plein fouet l’odeur chaude et un peu âcre de mes débordements. Mais mon hésitation ne dura qu’un instant et j’acceptai son baiser comme un don du ciel, m’appliquant même à aspirer consciencieusement les coulées blanchâtres de son visage, désormais mêlées à nos salives en fusion. Ce n’était pas mauvais. Seulement surprenant. — Tout à l’heure, je te sucerai vraiment. Accélération cardiaque. — Mais maintenant, c’est ton tour de me faire jouir. Commence par me déshabiller. Soumis à la volonté de ma déesse, je m’exécutai. Je lui ôtai son tailleur maculé, lui laissant son soutien-gorge en dentelle. Son ventre rond et doré me mit en appétit. Je lui accordai quelques cajoleries du bout des lèvres, puis la débarrassai de son jeans. Sa culotte était blanche, elle aussi. La dentelle ne masquait qu’en partie la sombre toison de son pubis. — Dégrafe mon soutien-gorge, m’ordonna-t-elle en un souffle où se devinait le désir – sensation grisante de n’être plus seul. S’ils n’étaient pas aussi gros que je les imaginais, ses seins restaient d’un volume appréciable – plus lourds que ceux que j’empaumais dans mes rêves humides. Ses aréoles étaient sombres, très brunes, et ses tétons ...