Perdre pied
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
ff,
fhh,
2couples,
couplus,
cocus,
vacances,
bain,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
confession,
... — Au moins vous aurez fait le bonheur de certains. Nous nous regardons et nous aussi rions. Si on nous avait dit cela il y a quelques jours, nous aurions été choqués, bien que baiser en milieu naturel expose à ce genre de désagrément ; mais maintenant, c’est plutôt drôle ! On trinque à notre crédulité. Soixante ans et si naïfs, c’est presque pathétique ! — Et vous, cette première fois, comment ça s’est passé ? demande, curieuse, mon épouse. C’est Marc qui répond : — Ah, Juan, celui qui a tout déclenché sans le savoir ! On était ensemble depuis une année et nous sommes allés en vacances en Andalousie. Un jour que je profitais de notre passage à Séville pour aller voir des fournisseurs, avec Léa on s’était donné rendez-vous dans un cabaret de flamenco. Mais la réunion s’est prolongée au point que j’ai dû la prévenir deux fois par SMS. Au deuxième, j’avais deux heures de retard ; elle me répond qu’elle allait se faire un bel Andalou en m’attendant. Bien entendu, c’était une plaisanterie ; mais lorsque j’arrive enfin, le spectacle est terminé, la salle vide, et une serveuse me dit qu’elle m’attend sur la terrasse. Elle me dit ça avec un petit sourire. En effet, je la retrouve sur la terrasse, mais pas seule : un homme était avec elle, manifestement un danseur du spectacle.— Je me souviens de la tête que tu faisais ! J’étais contente que cela te rende jaloux. C’était ma petite vengeance de t’avoir attendu.— Sur le moment j’ai été surpris, surtout qu’il était vraiment penché vers ...
... toi et qu’il te tenait la main.— Évidemment, pour lui j’étais une touriste seule et il me draguait. Il parlait bien français. Je repoussais gentiment ses avances en t’attendant.— Oui, mais moi je me suis dit que j’allais te laisser avec lui, juste pour rire.— Oui, et tu t’es installé à une table à côté. Sur le moment j’ai pensé que tu étais fâché, mais non, tu souriais.— C’est vrai. Il y avait un peu de monde sur la terrasse, des couples qui flirtaient gentiment, et personne ne m’a remarqué. Il faisait sombre aussi, avec juste une bougie par table et de la musique douce. Une vraie ambiance pour amoureux.— Alors je me suis dit que j’allais te provoquer un peu pour que tu interviennes et j’ai laissé Juan plus libre. Et tu n’as pas bougé. Pas un geste lorsqu’il a cherché à m’embrasser et que je l’ai laissé faire. Pas un geste quand il a commencé à me caresser les cuisses ; pourtant, tu ne pouvais ignorer que sa main était sous la table. Pas un geste lorsque j’ai sursauté alors qu’il atteignait ma culotte.— C’est vrai. J’avais compris que tu me provoquais. C’était drôle de te voir ainsi. Drôle et excitant.— Je ne voulais pas céder. Je voulais que ce soit toi qui viennes à notre table et informes que ce petit jeu devait cesser. Alors comme Juan a été encore plus entreprenant, me caressant les seins et glissant un doigt dans ma fente, je l’ai laissé faire. Tu regardais. Tu ne disais rien, et finalement ce n’était pas désagréable. Aucun homme que toi ne m’avait touchée depuis qu’on ...