1. Perdre pied


    Datte: 04/12/2018, Catégories: ff, fhh, 2couples, couplus, cocus, vacances, bain, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession,

    ... se connaissait. Mais il m’a proposé d’aller dans le jardin qui prolongeait la terrasse. Évidemment ce n’était pas pour compter les étoiles. Il avait bien en main cette touriste qui cédait à ses caresses. J’ai accepté. J’étais certaine que tu allais intervenir. Mais non, tu nous as suivis. À chaque pas je m’attendais que tu parles. Mais non. Je te devinais dans la pénombre et tu ne venais pas. Pourtant, Juan était passé à la vitesse supérieure et me caressait partout. Il avait même posé ma main sur sa braguette pour me faire sentir sa queue.— C’est vrai ; j’étais là et je regardais. Je ne savais plus quoi faire. Après tout, tu avais peut-être envie de cet homme, et ce n’est pas parce que nous étions ensemble que je pouvais te priver de ce plaisir. On avait vaguement parlé de la fidélité et tu avais dit que cela te semblait démodé.— C’étaient des paroles toutes faites, pas vraiment réfléchies.— De toute façon, c’est l’homme qui a décidé pour moi, pour nous. Il m’a vu et il est venu vers moi. Pas vraiment agressif mais, me demandant ce que je faisais là. En espagnol d’abord, et puis en français lorsque j’ai dit « Je ne comprends pas. » — Oui, c’est vrai. Je craignais une bagarre et j’ai été soulagée que ce ne soit pas le cas. J’ai compris aussi que Marc ne bougerait pas. Mais c’est vrai que Juan ne m’a pas laissé le temps de réfléchir : il s’est installé devant moi, a défait les deux fermetures Éclair sur les côtés de son pantalon et a sorti son engin et a déclaré : « Suce-moi ...
    ... ; ton copain nous regarde. » Il était gros ; pas très long, mais gros. De ces queues qu’on s’attend à trouver chez les hommes de la terre. Tout de suite il l’a mise dans ma bouche et j’ai commencé à le sucer. Je savais que Marc, qui s’était rapproché, me regardait. Je me faisais un point d’honneur de gober le gars avec tout mon savoir-faire, d’abord par colère envers celui qui me regardait, et puis par plaisir. Je ne résiste pas au plaisir de prendre une belle bite en bouche.— On a vu cela ! remarque Martine en riant.— Oui, j’adore. Même si Juan était un peu brutal, me bloquant la tête et se branlant entre mes lèvres. Il a dit : « Ta copine suce drôlement bien. Elle doit aimer ça. Tu dois en voir de belles, avec cette salope… » Étrangement, cette façon de me rabaisser m’excitait. J’ai cru qu’il voulait cracher dans ma gorge car cela a duré un bon moment, mais il m’a donné une capote pour la lui mettre. « Avec la bouche. » il a même précisé. Je l’ai fait, bien entendu. Alors il m’a fait me relever, me retourner, m’a relevé la robe jusque dans le dos, enlevé mon slip.— Un slip qu’il a mis dans sa poche en disant « Souvenir… » tout en me regardant, précise Marc, qui manifestement revit ce moment. Il l’a fait coucher sur une table de jardin, les pieds à terre, les cuisses qu’il a écartées. Elle montrait ses fesses cambrées. Alors tout en guidant sa queue vers la chatte il m’a regardé et dit : « Regarde bien, petit, ce qu’un homme, un vrai, va faire de ta copine. » et il est entré ...
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