1. Perdre pied


    Datte: 04/12/2018, Catégories: ff, fhh, 2couples, couplus, cocus, vacances, bain, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession,

    ... protéger la bite maritale. Nous coulons. Je m’allonge sur le fond et Martine vient sur moi. Nous retrouvons les attitudes afin que ses mouvements ne perturbent pas sa possession. Baiser dans l’eau, en totale immersion et sans point d’appui n’est pas si facile. Cela nécessite des mouvements assez lents, et Martine le sait alors qu’elle se tortille sur moi. Là-haut, je vois Léa penchée en avant. Je comprends qu’elle prend appui sur le haut de l’échelle, offrant ses fesses à l’homme qui la baise. Elle a tout l’appui qu’il lui faut pour que les ruades d’un homme excité ne la propulsent pas au loin. Je montre le tableau à Martine qui maintenant monte et descend sur ma tige. Elle sourit. Mais moi, je me souviens de ma première fois, celle où j’ai vu Léa possédée par un autre que moi. Je me souviens de cette sensation faite de tendresse, de jalousie, d’inquiétude, mais surtout de cette excitation si particulière. J’étais tout près, je voyais chaque détail, j’entendais chaque soupir, je sentais même l’odeur de transpiration des deux amants. Paul et Martine se voient, c’est vrai, mais l’eau déforme tout. Martine s’étonne que je la désarçonne, mais je la prends par la main. Deux brasses et nous émergeons quasiment au pied de l’échelle. On a pied à cet endroit. Je pousse ma naïade contre le bord, et d’une poussée la possède par derrière. Ainsi le couple peut se voir. Marc paraît redoubler de vigueur. Je connais bien cette sensation du mâle qui, dans ce genre de circonstance, veut ...
    ... montrer sa puissance. Ce n’est pas pour déplaire à Léa qui aime qu’on la prenne avec force. Les petits cris qu’elle pousse donnent tout de suite une dimension plus érotique que la simple vision à travers une surface mouvante. Martine s’accroche au bord alors que moi aussi je la baise avec une force qu’il était impossible de libérer sans un appui solide. Combien de temps dure ce moment que j’espère magique pour ce couple et que, d’une certaine façon, nous initions au partage ? Nous sommes bien plus jeunes qu’eux, mais notre expérience sexuelle dans ce genre de situation est sans commune mesure. C’est ma victoire d’entendre Martine gémir à son tour, mêlant sa voix à celle de Léa. Ce sont ses premiers cris qui signent la complicité entre nous, les hommes. Une entente hors de tout instinct de propriété, démontrant que chacun apporte à "la femelle" qu’il baise un plaisir partagé. Je suis heureux pour lui. Je suis heureux pour elle… * * * Qui aurait cru ? Oui, qui aurait cru qu’en l’espace de quelques heures Martine et moi nous retrouverions dans cette situation ? Je pousse ma queue, presque douloureuse d’excitation, dans la chatte de cette femme qui s’est littéralement offerte à moi et je vois, presque à portée de main, ma propre épouse se faire labourer par son ex-amant. Suis-je je donc si pervers de regretter que l’eau m’empêche de voir la bite de l’amant alors qu’il baise ma femme ? Suis-je donc dépravé d’être attentif aux gémissements de Martine, les comparant à ceux, généreux et ...
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